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mardi 15 septembre 2015

OT annonce la disponibilité de la première carte de paiement intégrant des codes de sécurité dynamiques pour sécuriser les transactions en ligne

Communiqué de presse

Oberthur Technologies, un leader mondial dans les solutions de sécurité numérique pour la mobilité, annonce ce jour lancer la première carte de paiement intégrant la technologie « dynamic Card Verification Value/Code » de NagraID Security (NIDS) pour sécuriser les transactions en ligne. NIDS est le spécialiste des cartes à écran, acheté par OT le mois dernier.

L’adoption de la technologie EMV a permis aux émetteurs de cartes bancaires de combattre efficacement la fraude « card present » (avec des cartes de paiement dans des commerces physiques). Par voie de conséquence, la fraude a massivement migré vers les transactions « card non present », principalement en ligne. Selon l’ECB¹, 60% de la fraude en 2012 en Europe a été réalisée en ligne.

Afin de répondre à cette situation qui préoccupe les émetteurs, les commerçants en ligne et les porteurs de carte, OT lance la première carte de paiement intégrant la technologie dCVV/dCVC de NIDS. Le CVV/CVC ou code de sécurité est un code à trois chiffres imprimé principalement au dos de la carte de paiement, à coté de l’emplacement pour la signature. Il est utilisé comme un élément de sécurité supplémentaire afin de sécuriser les transactions en ligne pour assurer que le détenteur de carte est bien en possession de sa carte.

Grâce à ce produit innovant, le code statique imprimé est remplacé par un mini écran affichant un code qui est automatiquement actualisé selon un algorithme chargé dans une puce embarquée dans le plastique.

Pour le porteur de carte, cette solution est totalement transparente : aucun plug-in à installer sur son navigateur web, aucun bouton à presser, le code apparait toujours au même endroit sur la carte ; le bénéfice principal étant la génération d’un code dynamique et une actualisation périodique.

La fréquence de mise à jour est définie par l’émetteur de la carte, par exemple toutes les heures. Ainsi, en cas de vol des informations contenues sur la carte dont le dCVV/dCVC, celles-ci deviendraient immédiatement obsolètes et les fraudeurs ne pourraient tirer aucune valeur de la revente de ces données sur le « dark net » à des personnes qui les achèteraient pour faire des achats frauduleux en ligne.

Ce nouveau produit est également transparent pour les commerçants en ligne qui n’auront pas à modifier la page de paiement sur leur site web en ajoutant des boutons ou en devant gérer des connectivités spéciales compliquées : le dCVV/dCVC entré par l’acheteur est indiqué sur la page de paiement comme le code de sécurité standard lors d’une transaction classique.

Pour les émetteurs (et leurs processeurs), un serveur spécifique synchronisé avec l’algorithme et les règles d’actualisation définies dans la carte est nécessaire. Ce serveur fait partie de l’offre d’OT tout comme des services de conseil pour définir l’approche la plus efficace pour une mise sur le marché rapide.

Pour répondre à un intérêt croissant des clients et anticiper une adoption massive, OT est prêt à fournir à ses clients cette technologie qui va révolutionner l’industrie du paiement. Des échantillons sont déjà disponibles et des pilotes commencent ce dernier trimestre 2014. Les livraisons commerciales commenceront au premier semestre 2015.

« Notre carte à écran dCVV est un excellent bouclier que les porteurs de carte peuvent avoir pour sécuriser leur accès à des sites de e-commerce et combattre la fraude en ligne » a déclaré Eric Duforest, Managing Director de la Business Unit Paiement chez OT. « Nos clients reconnaissent que cette technologie dCVV/dCVC est extrêmement facile à utiliser pour réduire de façon drastique la fraude en ligne et fournir un accès sécurisé à leurs clients aux services en ligne. De plus, cette solution est compatible avec toute infrastructure de paiement en ligne existante ; cela permet de rassurer les clients tout en offrant une expérience utilisateur inchangée et en ne nécessitant aucun processus d’enrôlement. C’est une garantie d’acceptation des clients et d’un déploiement rapide».

Cyril Lalo, CEO de NIDS a ajouté : « Dès que le processus de lancement sera finalisé, nous proposerons cette solution à notre réseau de distribution mondial de clients NIDS qui a déjà exprimé un intérêt considérable. Nous croyons fermement que ce produit sera un évènement marquant dans l’évolution de l’industrie du paiement ».

¹ : Rapport de la Banque Centrale Européenne – Février 2014



A PROPOS D’OBERTHUR TECHNOLOGIES
OT est un leader mondial dans les solutions de sécurité digitales pour la mobilité. OT a toujours été au cœur de la mobilité, depuis la première carte à puce aux dernières technologies de paiement sans contact qui équipent des millions de smartphones. Présent sur les marchés du Paiement, des Télécommunications et de l’Identité, OT offre des solutions complètes dans les domaines des Smart Transactions, des services financiers mobiles, du Machine-to-Machine, de l’identité numérique et du Transport & Contrôle d’accès. OT emploie plus de 6000 employés, dont près de 700 personnes en R&D. Avec plus de 50 bureaux de ventes répartis sur les 5 continents et 10 usines, OT a un réseau commercial international qui sert plus de 140 pays. Pour plus d’informations : www.oberthur.com

mardi 2 juin 2015

Assises des moyens de paiement : Les banques prennent de nouveaux engagements en faveur des paiements innovants

Communiqué de presse (02/06/2015)


A l'occasion des Assises des Moyens de Paiement, les banques françaises annoncent de nouveaux engagements destinés à favoriser le développement de moyens de paiement innovants, efficaces et à moindre coût pour les commerçants.


Elles continueront de mettre l'accent sur le développement de moyens de paiement à l'usage rapide et sécurisé pour répondre aux attentes des consommateurs et des commerçants, afin de faciliter la fluidité des paiements dans les commerces.


S'appuyant sur les conclusions résultant des travaux préparatoires rendues par M.Emmanuel Constans, président du Comité consultatif du secteur financier (CCSF), les banques s'engagent à :

1/ Renforcer l’information du commerçant sur les frais liés aux cartes avec un relevé plus complet, mensuel et normalisé

  • Le Relevé annuel des frais d'encaissements cartes (RAFEC) sera désormais mensuel.
  • Il comprendra, outre les informations déjà délivrées (montant des transactions cartes par contrat conclu avec la banque, commissions perçues notamment concernant la fourniture du terminal et les frais de télécommunications...), les frais détaillés liés à l'acceptation des cartes de paiement, ce qui devrait en faire le relevé commerçant le plus complet de l'Union européenne.
  • Cette information sur les frais sera normalisée par le CFONB*. Elle sera gratuite.

Ces nouveaux progrès dans l'information sur les frais liés aux cartes bancaires sont de nature à favoriser la comparaison des prix et la concurrence.

2/ Favoriser l’usage de la carte pour les transactions inférieures à 15 euros

  • Les banques ont pris bonne note des préconisations du rapport présentant les propositions issues des travaux préparatoires des Assises des Moyens de Paiement et de la demande du ministre des Finances et des Comptes publics qu'elles fassent leurs meilleurs efforts sur les commissions commerçants. A cet effet elles s'engagent, pour le cas où les dispositions contractuelles prévoient la perception d'un minimum de commission, à une diminution significative de ce minimum prélevé.

Rappelons qu'une baisse de ces commissions a déjà été constatée depuis 2011 et les engagements des banques pris à la suite de la publication du rapport Mallié, pour tenir compte de gains de productivité découlant des progrès techniques réalisés et de l'augmentation des paiements par carte bancaires.

3/ Promouvoir les paiements innovants

  • Les banques s'engagent également à généraliser leurs offres IP (télécommunications par internet et non plus avec des numéros surtaxés) afin de permettre une utilisation des terminaux de paiements (TPE) à moindre coût, pour le commerçant. L'objectif est d'arriver à ce que 60% du parc soient équipés au 31 décembre 2016. Une offre bancaire assise sur la technologie IP sera systématiquement proposée à l'ensemble des commerçants à compter du 1er janvier 2016. Le GIE Cartes Bancaires s'engage à ne plus agréer de nouveaux terminaux non compatibles IP à compter du 1er janvier 2016.

Pour les clients qui ne pourraient pas s'équiper en matériel IP pour des raisons techniques et resteraient donc sur des offres RTC (Réseau Telecom Commuté), les banques s'engagent à travailler, avec les opérateurs de télécommunication et les sociétés de routage de données monétiques, à mettre en oeuvre des offres comparables aux offres IP, à compter du

1er janvier 2016. Ces travaux pourraient être menés dans le cadre du futur Comité national des paiements qui en établirait un bilan.


Les banques prennent également acte de la décision du gouvernement de fixer la commission interbancaire de paiement à 0,23 % du montant de la transaction pour les cartes universelles pendant la période transitoire prévue par le Règlement européen sur les interchanges 751/2015, et à 0,2% pour les cartes de débit et 0,3% pour les cartes de crédit. Ces mesures s'appliqueront à partir du 9 décembre 2015.
  • Les banques s'engagent à promouvoir systématiquement leur offre M-POS (terminaux nomades) pour le commerce itinérant, avec une offre économique et attractive.
  • Les banques s'engagent à communiquer auprès de leurs clients pour promouvoir le virement sur leurs sites internet et leurs applications mobiles. Elles participeront aussi aux travaux qui pourraient être menés à la suite des conclusions des travaux préparatoires aux Assises pour faciliter l'utilisation de ce moyen de paiement.
  • Les banques s'engagent à promouvoir le paiement sans contact. Toutefois, si le consommateur en fait la demande, les banques procèderont gratuitement à un échange pour une nouvelle carte non équipée de la fonctionnalité de paiement sans contact. Enfin, les banques s'engagent à renforcer la communication sur le paiement sans contact à destination des consommateurs, notamment sur sa sécurité.

Les banques françaises sont totalement engagées dans le développement et la promotion d'offres de moyens de paiement innovants, sécurisés et attractifs, pour les commerçants comme pour les consommateurs.


A cet effet, elles soutiennent une stratégie nationale ambitieuse, dans le cadre d'une gouvernance associant toutes les parties prenantes, comme l'avait initiée avec efficacité le Comité national Sepa, lors de la mise en place des moyens de paiement européens.


Elles s'engagent par ailleurs à développer une pédagogie collective pour une bonne utilisation des moyens de paiement innovants, sous forme de mini guides à destination des TPE (www.aveclespme.fr) comme des consommateurs (www.lesclesdelabanque.com). Un prochain mini guide, "Proposer le paiement par carte à mes clients", à destination notamment des commerçants et des professions libérales, sera édité avant l'été, et un mini-guide sur le paiement sans contact le sera à la rentrée.


Marie-Anne Barbat-Layani, Directrice générale de la Fédération bancaire française commente : "Les banques françaises ont toujours joué un rôle majeur dans l'innovation en matière de moyens paiement et ainsi contribué comme chef de file au développement d'une des plus importantes filières industrielles françaises. C'est dans cet esprit qu'elles ont participé à la préparation des Assises des moyens de paiement. Les banques françaises se félicitent de l'intérêt porté par les pouvoirs publics à cette filière. Elles réaffirment aujourd'hui leur ambition autour des deux lignes directrices qui guident leur action : performance et sécurité au service du client".


* CFONB : Comité Français d'Organisation et de Normalisation Bancaires

Assises des moyens de paiement : stratégie et plan d’action d’ici à l’automne

Source : Publi-News (02/06/2015)

Après plusieurs mois de réflexions et travaux réalisés par les professionnels du secteur, les Assises des moyens de paiement, organisées sous l’égide du Comité Consultatif du Secteur Financier (CCSF) se sont déroulées le 2 juin 2015 dans les locaux du ministère de l’Economie et des Finances à Bercy. Au programme : une modernisation des moyens de paiement reposant sur quatre axes à savoir l’acceptation plus large de la CB notamment pour les petits montants, la simplification de l’utilisation des nouveaux moyens de paiement par les consommateurs et les entreprises, la poursuite du développement du paiement sans contact et le renforcement de la sécurité des moyens de paiement (...)



lundi 28 octobre 2013

Le paiement sans contact prêt à conquérir la France

Source : Ninon Renaud, LesEchos (28/10/2013)

La masse critique de clients équipés de cartes sans contact et de commerçants les acceptant sera atteinte à la fin de l'année. Le Groupement des Cartes Bancaires lance cette semaine une grande campagne de communication.


Quatre ondes verticales de tailles croissantes pour pictogramme et un slogan, « Poser, c'est payé ! » Trois ans et demi après son introduction à Nice, le paiement sans contact peut démarrer à grande échelle en France. C'est l'ambition du Groupement des Cartes Bancaires qui réunit la plupart des établissements financiers français. Son conseil d'administration a validé vendredi le budget de la campagne dédiée à cette façon de régler ses achats de moins de 20 euros (...)





jeudi 24 janvier 2013

Préserver le modèle de carte interbancaire, universel et performant


Source : Fédération Bancaire Française (24/01/2013)

La carte est le moyen le plus utilisé par les Français pour régler leurs achats, avec 45 % des transactions réalisées en France en 2011(1). Sa simplicité d'utilisation pour les consommateurs est sous-tendue par un système interbancaire qui permet l'universalité des paiements, quelle que soit la banque du client et celle du commerçant. Avec une seule et même carte bancaire, le client peut ainsi payer chez tous les commerçants. La carte bancaire est un moyen de paiement pratique, garanti, sûr et traçable.

Depuis plusieurs mois, la Commission européenne qui mène une réflexion sur l'avenir des moyens de paiement en Europe, envisage pourtant une diminution, voire une interdiction des commissions multilatérales d'interchange (CMI) pour les cartes. Si un tel encadrement des CMI se confirmait, il ne constituerait pas une simple adaptation du modèle économique des cartes bancaires mais il se traduirait par une remise en cause globale des services de paiement par carte. Or, la carte est devenue le moyen de paiement préféré des Français et permet de surcroît le développement de moyens de paiement innovants (paiement mobile, portefeuille électronique...).

Les CMI sont fondamentales pour assurer la pérennité du système carte
Le système interbancaire fonctionne de manière collective avec des règles juridiques et techniques communes à tous les acteurs, et une rémunération des services rendus par la banque du client à la banque du commerçant. Ce système, bien connu des autorités de la concurrence françaises et européennes, assure aussi la pérennité des infrastructures en place et leur adaptation aux évolutions technologiques. Les banques investissent en effet de manière continue dans le développement et la sécurisation des moyens de paiement, notamment dans la lutte contre la fraude.

Pour la Fédération bancaire française (FBF), il est indispensable de conserver un modèle économique viable pour préserver l'interbancarité des cartes. La disparition du système interbancaire conduirait à la fin de l'universalité de ces paiements. Les consommateurs devraient alors posséder plusieurs cartes en fonction de celles acceptées par leurs commerçants. Tous deux supporteraient également une hausse des coûts d'utilisation des cartes tandis que leur facilité d'usage serait amoindrie.

Une étude d’impact est indispensable
La FBF demande donc que toute mesure qui pourrait avoir des effets sur le modèle économique des paiements par carte interbancaire soit précédée d'une étude sur l'ensemble des moyens de paiement en Europe (carte bancaire, chèque, argent liquide, ...) de manière à comparer les coûts directs et indirects de chacun, ainsi que la sécurité et les facilités d'utilisation qu'ils offrent. C'est d'autant plus important que le paysage des moyens de paiement évolue rapidement sous l'effet d'innovations technologiques.

(1) source BCE Payment Statistics - septembre 2012

mercredi 31 octobre 2012

le Crédit Mutuel-CIC et Ingenico présentent la première solution standard de paiement par carte conforme SEPA

Communiqué de presse

Paris, Strasbourg, le 30 octobre 2012- Ingenico (Euronext : FR0000125346 – ING), leader mondial des solutions de paiement et le Groupe Crédit Mutuel-CIC annoncent aujourd'hui la démonstration « live » de leur solution commune de paiement par carte basée sur les standards conformes SEPA, présentée lors de la conférence annuelle EPASOrg à Rome, le 18 octobre 2012.

Pour la première fois au monde, une solution opérationnelle conforme aux futures standards SEPA et basée sur une application EMV de paiement unique (SEPA-FAST) ainsi que sur un protocole ouvert et universel de paiement par carte (protocole acquéreur d’EPASOrg-EPAS ISO 20022) fait l'objet d'une démonstration publique. Le terminal de paiement SEPA Ingenico iWL250 s'est connecté avec succès au serveur d'autorisation EPAS ISO20022 du Crédit Mutuel-CIC lors de la conférence annuelle EPASOrg, devant 100 personnes.

Cette solution commune sera bientôt mise en œuvre dans le secteur de la grande distribution et progressivement élargie à d'autres pays européens (...)

Lire le communiqué intégral sur le site Ingenico

mardi 2 octobre 2012

Conformité PCI-DSS: Etes-vous paré aux derniers changements ?

Source : Finyear (02/10/2012)

Si votre organisation accepte les cartes de crédit en ligne, c’est que vous êtes probablement très familier avec la norme PCI-DSS (Payment Card Industry Data Security Standard). Depuis fin 2004, ce standard de sécurité des données des cartes de paiement – incluant la prévention, la détection et la réponse aux incidents - évolue. Les domaines couverts par le PCI-DSS sont étendus et vont de l’installation et la maintenance d’une configuration de pare-feu à la surveillance des accès aux ressources du réseau, et inclut même des tests des applications Web, le tout pour protéger les données du titulaire (...)

Lire l'article dans Finyear


vendredi 29 juin 2012

[BE] SEPA trop tard,mais...


Source : Marc Husquinet - Le Vif (29/06/2012)

Si vous n'avez pas encore adapté vos systèmes informatiques et vos processus à la future réglementation SEPA (Single Euro Payments Area), il est grand temps de commencer à y penser. L'échéance est fixée au 1er février 2014.

Alors que l'euro visait à la création d'un espace européen unique pour l'argent liquide, la réglementation SEPA entend mettre en place un système de paiements scripturaux dans 32 pays européens. Sont donc visés tant les virements que les domiciliations, outre à terme les cartes de débit (...)

Lire l'article dans Le Vif

mercredi 20 juin 2012

Paiement mobile : qui est le mieux placé pour remporter la mise ?

Source CBanque (19/06/2012)

Selon une récente étude, les banques seraient menacées par une possible alliance entre un opérateur de carte bancaire et un opérateur de téléphonie dans le secteur des paiements par mobile. En cause : leur timidité dans le domaine, conséquence de leur attachement à la carte bancaire (..)

Lire l'article : http://www.cbanque.com/actu/30865/paiement-mobile-qui-est-le-mieux-place-pour-remporter-la-mise

mardi 24 avril 2012

La carte bancaire européenne unifiée est enterrée

Source : Le Figaro (23/04/2012)


Les banques et Bruxelles n'ont pas trouvé d'accord sur le projet qui aurait créé un concurrent à Visa et à Mastercard. 

Revers pour le projet d'unification des moyens de paiement en Europe. Les vingt-quatre grandes banques, issues de huit pays, qui planchaient sur la constitution d'une carte de paiement européenne homogène ont annoncé lundi qu'elles jetaient l'éponge. Cette carte unifiée pour tous les pays européens, d'initiative franco-allemande, avait pour ambition de concurrencer les réseaux Visa ou Mastercard. Sa mise en orbite supposait «une centaine de millions d'euros d'investissement», selon le président du projet, baptisé Monnet, Georges Pauget (...)

Lire l'article dans Le Figaro


vendredi 13 janvier 2012

Le marché des moyens de paiement en pleine (R)évolution

Source : Xerfi

Le marché des moyens de paiement est en plein bouleversement sous l’effet des évolutions réglementaires (Sepa, DSP, directive monnaie électronique 2, loi Lagarde…) et des nouvelles technologies. Elles impliquent une reconfiguration totale du marché de l’avis des experts de Xerfi-Precepta. Tous les maillons de la chaine sont impactés. Les modèles économiques traditionnels sur les cartes bancaires et privatives sont en effet remis en cause par la baisse programmée des tarifs et des commissions(...)

Lire l'article sur le site Xerfi : http://www.xerfi.tv/xerfistudents/v2/?p=3340

mercredi 11 janvier 2012

Faciliter les paiements sûrs et innovants par carte, internet et téléphone mobile

Source : Commission Européenne, communiqué de presse

Bruxelles, le 11 janvier 2012 – Billets de train virtuels, remboursements effectués avec un téléphone portable, achats quotidiens en ligne, paiement à l'étranger avec une carte de débit... les modes d'achat et de paiement des Européens connaissent d'importants changements. Un environnement de paiement intégré, sécurisé et transparent dans l'ensemble de l'UE permettrait de disposer de moyens de paiement plus efficaces, plus modernes et plus sûrs, au plus grand bénéfice des consommateurs, des commerçants et des fournisseurs de services de paiement. Le livre vert adopté aujourd'hui lance une consultation par laquelle la Commission sollicite l'avis des parties intéressées sur les obstacles qui limitent l'intégration du marché et la manière dont ceux-ci pourraient être levés. La date limite de réponse à la consultation est le 11 avril 2012.

Aujourd'hui, le consommateur ne peut plus se passer des paiements électroniques, qu'il effectue ses achats dans un point de vente ou sur internet. Plus de
700 millions de cartes de paiement sont en service dans l'UE, le commerce électronique y offre des débouchés immenses et le nombre de smartphones y augmente de manière exponentielle. Le livre vert analyse les obstacles qui entravent l'intégration du marché européen dans ce domaine prometteur que sont les technologies de paiement.

M. Michel Barnier, commissaire européen chargé du marché intérieur et des services, a déclaré: «L'Europe a la possibilité d'être à la pointe des évolutions futures en matière de paiements, mais cet objectif ne sera pas atteint tant que le marché restera aussi fragmenté. Les paiements électroniques doivent être sûrs, efficaces, compétitifs et innovants pour que les consommateurs, les détaillants et les entreprises profitent pleinement des avantages du marché unique et pour soutenir la croissance du commerce électronique. La consultation que nous lançons aujourd'hui est pleinement conforme avec le mandat de la Commission: elle vise à stimuler la croissance et la création d'emplois et elle se fonde sur les résultats déjà obtenus dans le domaine des paiements de détail.»

M. Joaquín Almunia, vice-président de la Commission européenne, a ajouté: «L'inefficacité des systèmes de paiement dans l'Union européenne accroît les coûts de transaction, réduit la compétitivité de l'économie européenne et limite son potentiel de croissance. Les consommateurs, les entreprises et les commerçants européens méritent des services de paiement qui soient au diapason du XXIe siècle: transparents, apportant une véritable valeur ajoutée et exploitant au mieux nos technologies.»

Informations générales
Le livre vert analyse le paysage actuel des paiements par carte, par internet et par téléphone mobile en Europe et identifie les obstacles à lever pour parvenir à un marché des paiements pleinement intégré, ainsi que les sources de ces obstacles. L'objectif du livre vert est de procéder à une vaste consultation des parties intéressées afin qu'elles valident et enrichissent l'analyse de la Commission et l'aident à définir la meilleure façon de promouvoir l'intégration du marché.

Les principales questions abordées par le livre vert sont:

- l'accès au marché et l'entrée sur le marché pour les prestataires existants et nouveaux;
- la sécurité des paiements et la protection des données;
- la transparence et l'efficience de la tarification des services de paiement;
- la normalisation technique;
- l'interopérabilité entre prestataires de services.

Une autre question essentielle, dont sont tributaires tous les aspects ci-dessus, est celui de la bonne gouvernance. En d’autres termes, il s'agit de déterminer comment mettre en œuvre les mesures permettant de lever les obstacles existants afin que les avantages se matérialisent dans un délai raisonnable.

La Commission a déjà été active dans le domaine des cartes de paiement, essentiellement dans le cadre de l’espace unique de paiements en euros (SEPA) et par l'application de la législation en matière de concurrence (voir les décisions de la Commission adressées à MasterCard et Visa)1, mais les paiements par internet et mobiles sont des domaines relativement nouveaux de la politique européenne. Par conséquent, lors de l'élaboration du livre vert, la Commission a examiné un très large éventail de domaines politiques susceptibles d'avoir une incidence dans ce contexte.
Les réponses au livre vert sont attendues jusqu'au 11 avril 2012. Sur la base d’une analyse approfondie des résultats de la consultation, la Commission annoncera avant l’été 2012 les prochaines étapes prévues.
Voir également MEMO/12/6

1 Décision de la Commission du 19.12.2007, relative à une procédure d'application de l'article 81 du traité CE et de l'article 53 de l'accord EEE (affaires COMP/34.579 – MasterCard, COMP/36.518 – EuroCommerce et COMP/38.580 – Commercial Cards); et décision de la Commission du 8.12.2010 relative à une procédure d'application de l'article 101 du TFUE et de l'article 53 de l'accord EEE (affaire COMP/39.398 – Visa MIF).

Pour plus d’informations
http://ec.europa.eu/internal_market/payments/cim/index_fr.htm

Personnes de contact:
Chantal Hughes (+32 2 296 44 50)
Carmel Dunne (+32 2 299 88 94)
Marisa Gonzalez Iglesias (+32 2 295 19 25) Maria Madrid Pina (+32 2 295 45 30)

lundi 26 septembre 2011

Entente: l'Union Européenne ouvre une enquête sur les paiements électroniques

Source : L'Express.fr

BRUXELLES - La Commission européenne a annoncé lundi l'ouverture d'une enquête en matière d'ententes et d'abus de position dominante sur les paiements électroniques en Europe, craignant un verrouillage de ce marché et l'exclusion de nouveaux acteurs (...)


Lire l'article dans L'Express.fr

mardi 21 juin 2011

Hôtels et sécurité des cartes CB

Source : Blog "We are secure! (We havé a Firewall)"

J'étais en train de réserver un hôtel par téléphone et ( évidemment) arrive le moment où la fille me demande mon numéro : "j'aurai juste besoin de votre numéro de CB, la date et ...comment cela s'appelle...oui...le cryptogramme" (...)

Lire le billet dans le Blog "We are secure! (We havé a Firewall)"

mardi 17 mai 2011

Interview de M. Dominique Buysschaert, Fondateur et Président de PayFair


Avec l’adoption du SEPA Cards Framework (SCF) en 2006, visant à offrir une plus large acceptation des cartes pour les consommateurs en Europe, les autorités européennes favorisent l’émergence de nouveaux systèmes de cartes européens afin de rivaliser avec le duopole des systèmes internationaux de cartes.
Il y a actuellement 3 prétendants (EAPS, Monnet et PayFair) pour développer un système de cartes européen, chacun à un stade
de développement différent.

Pour mieux comprendre les évolutions du marché des cartes,  Sia Conseil a rencontré Dominique Buysschaert, fondateur et président de PayFair, une initiative privée et belge visant à proposer un nouveau système européen de cartes

Lire l'interview sur le Portail Finance & Stratégies de Sia Conseil

mercredi 11 mai 2011

Interview de M. Peter Blasche, Président d’EAPS (Euro Alliance of Payment Schemes)

Source : Portail Finance & Stratégie de Sia Conseil

M. Peter Blasche
Actuellement, il existe au moins un système de cartes national dans chaque pays de la zone euro. Pour permettre les paiements transfrontaliers, les cartes nationales sont souvent co-marquées avec un système de cartes international (principalement Visa ou MasterCard). Le SEPA Cards Framework (SCF), adopté par l’EPC European Payments Council
en 2006, vise à améliorer les niveaux d’interopérabilité au sein de la zone SEPA et à créer les conditions permettant une plus large concurrence sur ce marché. Les autorités européennes favorisent ainsi l’émergence de nouveaux systèmes de cartes européens, appelés à rivaliser avec le quasi-duopole de systèmes internationaux (...)

Lire la suite sur le portail Finance & Stratégie de Sia Conseil

dimanche 1 mai 2011

Transpac, plus de 30 ans de transmission de paquets !

Source : Musée de l'informatique (01 mai 2011)
 
Lancé en 1979, le réseau Transpac, basé sur le protocole X.25, fermera normalement ses portes le 30 septembre 2011. A cette occasion, le musée de l’informatique lance une grande opération de collecte et de transmission de la mémoire des créateurs et usagers du réseau Transpac et de ses applications.



Ce que vous ne savez peut-être pas :
- Transpac aura servi pendant près de 32 ans
- Transpac était le support du réseau Télétel utilisé par le Minitel
- Le réseau monétique Etebac qui permet les transactions par cartes bancaires et les échanges d’informations entre les entreprises et leurs banques s’appuie sur Transpac (...)

Lire la suite sur Musée de l'informatique

vendredi 4 mars 2011

Quelle transposition en France de la Directive Monnaie Electronique ? Une conférence le 14 avril 2011 à Paris

Dernier maillon de la norme SEPA, la directive 2009/110 dite " Directive Monnaie Electronique 2 " doit entrer en vigueur le 30 avril prochain.

Cette refonte de la 1ère directive, réforme en profondeur le régime de la monnaie électronique et impacte plus particulièrement les acteurs du prépayé.

Conférence le 14 avril 2011 à Paris
Plus d'informations : http://www.publi-news.fr/data/04032011/04032011-091558.html

mercredi 2 mars 2011

Bankcontact/Mister Cash va être prolongé et devenir conforme au SEPA (Teckelfinancier’s Blog)

Par teckelfinancier
 
Il s’agit d’une décision à la fois importante mais aussi assez surprenante. Bankcontact/Mister Cash, le schéma de paiement par carte belge devait initialement mourir au terme de la migration des moyens de paiement belges vers le SEPA. Finalement, après plusieurs années d’hésitation, la destination semble complètement différente (...)

Lire le billet dans le blog Teckelfinancier

lundi 28 février 2011

PayFORUM 2011, le RDV annuel des technologies de la monétique ouvre ses portes les 23 et 24 mars 2011

Pression réglementaire sur le passage au SEPA et pour plus de sécurité sur les paiements sur Internet, montée des établissements de paiements, TPE légers et mobilité au point de vente, nouveaux services commerçants, instant issuing, nouveaux standards monétiques, sans contact, déliassage : la monétique est en plein bouleversement.

Plus d'informations : http://www.publi-news.fr/data/28022011/28022011-092545.html

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