Source : Finyear (31/01/2013)
Les trésoriers invités à saisir le potentiel d’économies du SEPA pour rentabiliser un coût de migration obligatoire représentant plus de deux années de budget d’investissement.
Selon une enquête de bfinance auprès de 50 corporates français, les responsables trésorerie-financements n’escomptent majoritairement aucun retour sur investissement de l’adoption obligatoire des moyens de paiement SEPA avant le 1er février 2014. Toutefois, nombre d’entre eux n’ont pas encore cherché à optimiser le potentiel de l’Europe des paiements en adaptant leur organisation de trésorerie. La perception négative du SEPA occulte également la dynamique que ce projet a insufflé sur les prix des services de cash management, qui convergent depuis cinq ans à la baisse dans la zone SEPA (...)
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