Les barrières empêchant la mise en œuvre d’un contrôle automatisé des frais bancaires tendent à disparaître. Les entreprises vont devoir se mobiliser pour convaincre leurs banques de proposer des services de facturation adaptés
Le contrôle de la facturation bancaire n’est sans doute pas le sujet qui excite le plus les trésoriers d’entreprises. Pourtant, l’optimisation du processus laisse entrevoir un potentiel d’économies bienvenu à l’heure où les investissements contraints par la succession de nouvelles réglementations (Sepa, Emir, Dodd-Franck…) restent à amortir. La pratique consiste simplement à vérifier les montants prélevés par les banques en rémunération des services souscrits mais, par habitude, manque de moyens ou confiance aveugle, les entreprises françaises ont plutôt tendance à s’en désintéresser (...)
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