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lundi 29 octobre 2012

Cinq grandes banques françaises proposent de payer ses factures en un clic

Communiqué de presse

PARIS – Cinq grandes banques françaises ont lancé une expérimentation qui va permettre de recevoir ses factures par courrier électronique et de les payer directement via le site sécurisé de sa banque ou sur l’application dédiée de son téléphone portable.
Le Credit Mutuel-CIC, BPCE, Société Générale, BNP Paribas et Crédit Agricole proposent de créer une messagerie électronique sécurisée accessible par le compte en ligne, appelée SEPAmail, selon un communiqué publié jeudi.
Le client qui aura donné son accord préalable recevra un message de la part d’un créancier comprenant la facture et une demande de versement.
Une fois vérifiée la facture et son montant, il pourra, en un clic, réaliser un virement à destination de ce créancier sans avoir à entrer ses coordonnées bancaires.
Ce nouveau service facilite le règlement pour le consommateur en évitant les courriers (factures, chèque, TIP) et optimise les modalités d’encaissement pour les particuliers, indiquent les cinq établissements.
Pour les banques, ce service, répond aux recommandations du rapport Pauget/Constans sur les moyens de paiement, publié en avril, a expliqué Sophie Parize, directrice adjointe des stratégies moyens de paiement de BPCE.
Ce rapport suggérait notamment de faciliter l’utilisation du virement bancaire en ligne par les clients.
Ce service permet, à la différence du prélèvement, de laisser au client la main pour décider de la date de son paiement.
Cela répond à une demande des clients de bénéficier d’une solution innovante permettant de réduire l’utilisation du papier, selon Mme Parize.
Actuellement en phase d’expérimentation, le service ne devrait pas être généralisé à l’ensemble de la place avant plusieurs mois, a indiqué une source proche du dossier. Il nécessite en effet d’intéresser un certain volume de clients et d’entreprises pour être déployé à grande échelle.
A terme, ce service pourrait également être disponible sur les distributeurs automatiques de billets, a expliqué Mme Parize.

vendredi 26 octobre 2012

L’initiative CGI réduit les coûts pour les banques et les entreprises


Communiqué de presse


Le groupe de travail CGI publie un recueil
de bonnes pratiques et lance un nouveau site internet


Bruxelles, le 25 Octobre 2012 – L'initiative de mise en œuvre globale commune (CGI) a annoncé la publication d’un guide des bonnes pratiques sur les échanges banques-entreprises s’appuyant sur la norme de messages ISO20022. La codification et le développement de l'utilisation de standards dans l’espace de paiements banques-entreprises aideront à réduire les coûts et à simplifier les processus de mise en œuvre pour les entreprises qui communiquent avec de nombreuses banques.

Le but du CGI est de permettre aux entreprises d’utiliser une même structure de message (quel qu’en soit le type) dans leurs interactions avec toutes leurs banques de transactions dans le monde pour l’émission d’un paiement et le reporting des comptes et des statuts. Environ 60 institutions financières, entreprises, distributeurs et fournisseurs d’infrastructure de marché font maintenant partie de cette initiative qui offre aux acteurs clés du secteur de la communication banques-entreprises un forum de rencontre, d’échange pour améliorer l’utilisation d’une messagerie harmonisée. SWIFT soutient l’initiative CGI à la fois en tant que membre et animateur du groupe de travail.

Marc Gheyskens, Directeur des Solutions Swift for Corporates commente :

« Depuis la crise financière, de plus en plus d’entreprises ont commencé à échanger avec de nombreuses banques. Si cela permet de répartir les risques, la gestion de ces multiples relations bancaires peut s’avérer très coûteuse et difficile pour les deux parties.  Les entreprises doivent mettre en œuvre différentes conditions concernant les canaux et les formats d’échanges de données, tandis que les banques doivent gérer et mettre à jour leurs protocoles propriétaires. C’est là qu’intervient la CGI en offrant une plateforme aux établissements financiers et non-financiers pour travailler ensemble autour de la définition d’une approche harmonisée sur l’adoption de standards dans les paiements banques-entreprises ».
                                               
Harri Rantanen, Co-président du Groupe CGI et Directeur Monde du service Formats & Standards à la Skandinaviska Enskilda Banke, explique :

« Nous pourrions penser qu’il serait compliqué de rassembler les différents membres de la CGI pour collaborer ensemble dans un secteur traditionnellement très concurrentiel. Cependant, étant donné que les priorités du secteur sont de développer l’harmonisation, l’efficacité et le faible coût de possession, cela s’est avéré simple et déjà très productif comme l’a démontré la publication de ce guide des bonnes pratiques.  Il y a une forte attente qui va s’accentuer concernant l’application du modèle de collaboration développé par la CGI à d’autres secteurs du domaine des paiements ».

Susan Colles, Animatrice du groupe de travail CGI et Responsable Global Standards pour Bank of America Merrill Lynch commente :

« La collaboration pour le développement de standards pour l’industrie est l’atout majeur de la CGI. La CGI a pris les devants pour montrer qu’il est utile et possible de développer un standard mondial qui peut être utilisé par les entreprises pour communiquer avec leurs multiples correspondants bancaires mais aussi par les fournisseurs d’application  dans le développement de messages acceptés par plusieurs banques ».

Les documents de mise en œuvre sur l’utilisation de la norme de messages ISO20022 entre les entreprises et les banques, conformes au SEPA, sont disponibles sur le nouveau site internet de l’initiative CGI.

L’initiative CGI est un forum (sans participation financière) ouvert à toutes les organisations qui ont un intérêt commun à la collaboration, la promotion et l’adoption du standard ISO20022 comme standard XML commun utilisé entre les entreprises et les banques.

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À propos de SWIFT
SWIFT est une société coopérative qui permet aux membres de son réseau d’échanger des informations financières standardisées et automatiques de manière sûre et fiable, et, dès lors, de réduire les coûts, de limiter les risques opérationnels et de supprimer des processus opérationnels inefficaces. Plus de 10 000 organismes bancaires, établissements financiers, institutions et entreprises dans 212 pays bénéficient des produits et services et de l’expertise de SWIFT et de sa plateforme de communication sécurisée unique au monde. SWIFT assure l'échange sécurisé de données propriétaires en garantissant confidentialité et intégrité. SWIFT facilite également le rapprochement des acteurs de la communauté financière pour élaborer ensemble des pratiques de marché, définir des standards et envisager des solutions aux questions d’intérêt commun. En utilisant SWIFT, les clients peuvent bénéficier d’un large panel de solutions métiers et optimiser la gestion des flux financiers. Pour de plus amples informations, rendez-vous sur swift.com.

À propos de l’initiative CGI :
L'initiative de mise en œuvre globale commune (CGI) fournit un forum pour les établissements financiers (banques et associations de banques) et les établissements non-financiers (entreprises, associations d'entreprises, fournisseurs et infrastructures du marché), destiné à faire progresser différents sujets relatifs à la mise en œuvre de l'entreprise à la banque sur l'utilisation des messages ISO 20022 et d'autres activités associées, dans le domaine des paiements. L'objectif du CGI est de simplifier la mise en œuvre pour les utilisateurs d'entreprise et, de ce fait, de promouvoir l'acceptation du standard ISO 20022 comme standard XML commun utilisé entre les entreprises et les banques.

2 % des paiements électroniques effectués par et à destination des entreprises en euros comportent actuellement des données erronées

Source : Jonathan Williams, Experian - Finyear (26/10/2012)

Selon une étude récente réalisée par Experian, 12 % des paiements électroniques effectués par et à destination des entreprises en euros comportent actuellement des données erronées : comment est-ce possible et quelles en sont les conséquences pour la migration vers le SEPA ? (...)

Lire l'interview du directeur du département Stratégie de paiements chez Experian dans Finyear


La dématérialisation des documents à valeur probante

Source : Le Nouvel Économiste (25/10/2012)

La généralisation de la dématérialisation fiscale se heurte encore aux particularités de la facture

Si la dématérialisation des documents et son pendant – la gestion électronique des documents – sont bien compris, leur adoption reste inégale. La question de la valeur probante est encore mal connue et encore moins appliquée, en particulier pour les factures qui, en tant que document fiscal, demandent un traitement spécifique. Les outils nécessaires sont là, mais certaines exigences législatives freinent les entreprises. Plusieurs directives européennes travaillent à simplifier l’utilisation des factures dématérialisées, mais cela ne garantit pas une explosion de la pratique : les habitudes ont la vie dure, et des préoccupations sur la sécurité font encore hésiter un grand nombre de petites entreprises (...)



jeudi 25 octobre 2012

N'ayez pas peur des outils de paiement modernes

Source : Louis Chavanat - DAFmag (15/10/2012)

Vous êtes-vous déjà demandé s'il y avait plus pratique que les chèques ou les virements ? Avez-vous pensé à la lettre de change relevée directe (ou lettre de change magnétique, traite magnétique, traite relevée) ? Aux billets à ordre électroniques, cartes bancaires, cartes d'achat, cartes logées, au virement sepa ? (...)



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