Selon une étude récente du cabinet Deloitte, 90 % des banques envisageraient de devenir des Open Banks d’ici trois ans. Or, l’étude "PSD2 : Driving digital transformation in banking" réalisée fin 2017 par l’Efma et Microsoft indiquait que 53 % des banques craignaient, avec l’arrivée de la DSP2, une perte de contact avec leur clientèle.
Et pour cause : s'il a le potentiel de transformer les relations clients avec les produits financiers, l'Open Banking repose majoritairement sur la volonté des utilisateurs de l'adopter.
La Directive des Services de Paiements (DSP2) oblige en effet les banques à ouvrir, d'ici à septembre 2019, leur système d'information et à partager les données de paiement des clients avec des services tiers. Cette directive, qui a notamment pour but de simplifier les paiements, de favoriser la concurrence et d'optimiser l'expérience utilisateur, n'est pourtant pas sans risques, et sa popularité est étroitement liée à la confiance qu'ont les consommateurs en la sécurité et la confidentialité de leurs informations (…)
Lire l'article dans LesEchos.fr
Et pour cause : s'il a le potentiel de transformer les relations clients avec les produits financiers, l'Open Banking repose majoritairement sur la volonté des utilisateurs de l'adopter.
La Directive des Services de Paiements (DSP2) oblige en effet les banques à ouvrir, d'ici à septembre 2019, leur système d'information et à partager les données de paiement des clients avec des services tiers. Cette directive, qui a notamment pour but de simplifier les paiements, de favoriser la concurrence et d'optimiser l'expérience utilisateur, n'est pourtant pas sans risques, et sa popularité est étroitement liée à la confiance qu'ont les consommateurs en la sécurité et la confidentialité de leurs informations (…)
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