Paiements, cash management, communication bancaire, signature électronique,
sécurité, automatisation de processus, intégration de données et applications financières

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lundi 21 novembre 2016

Stratégie nationale des paiements : priorité aux alternatives au chèque en 2017

Source : cBanque (18/11/2016)

Le comité national des paiements scripturaux (CNPS) s’est réuni en début de semaine pour faire le point sur ses chantiers 2017. La priorité reste à l’amélioration de l’acceptation de la carte bancaire, mais aussi à l’amélioration du virement. Objectif avoué : limiter au maximum les cas d’usage du chèque, en offrant des alternatives.

C’était en octobre 2015 : Michel Sapin dévoilait à Bercy, en présence des acteurs du secteur, sa stratégie nationale des paiements, feuille de route pour moderniser, sécuriser et développer l’écosystème français. Un peu plus d’un an plus tard, le ministre de l’Economie et des Finances a présidé mardi dernier, 15 novembre, la 3e réunion du Comité national des paiements scripturaux, l’organe chargé de superviser et de réguler cet effort de modernisation. L’occasion de faire le point sur les chantiers en cours, et ceux à venir en 2017 (...)


lundi 14 novembre 2016

IbanFirst, le cheval de course de Xavier Niel pour conquérir les PME

Source : Banques en ligne (13/11/2016)

Banque en ligne à la carte pour les PME, et hub proposant les services d'autres fintechs, IbanFirst peut compter, entre autres, sur le soutien financier de Xavier Niel.


IbanFirst, banque en ligne pour les PME

La fintech IbanFirst, fondée par Pierre-Antoine Dusoulier, s’adresse aux PME, en leur proposant de ne payer que les services bancaires utilisés. Cette plateforme souhaite « démocratiser la création d’Iban », le numéro international de compte bancaire, dont la fonction est d'assurer son identification et celui de son établissement bancaire partout dans le monde. IbanFirst facilite l’ouverture d’un compte de paiement en ligne pour les professionnels, en récupérant directement certaines informations auprès de sources en ligne comme Infogreffe (...)
 
 
 

jeudi 20 octobre 2016

La déclaration sociale nominative entre dans sa dernière phase

Source : Les Echos Entrepreneurs (19/10/2016)


La phase 3 de la déclaration sociale nominative, qui sera obligatoire au début de l’année prochaine, est disponible sur la base du volontariat.

 
La déclaration sociale nominative, la fameuse DSN, est une déclaration unique et mensuelle, générée à partir des données rentrées dans le logiciel de paie et envoyée à l’administration par voie électronique. Elle vise à remplacer la plupart des déclarations sociales réalisées par les employeurs.

Déjà obligatoire pour de nombreuses entreprises, la DSN devra être utilisée, à compter de la paie de janvier 2017, par tous les employeurs du régime général et tous les tiers mandatés ainsi que par les employeurs agricoles qui n’ont pas recours à un tiers mandaté et qui ont payé, en 2014, au moins 3 000 € de cotisations sociales. Les autres employeurs agricoles devront, eux, l’instaurer à partir de la paie d’avril 2017. Ces dates butoir peuvent, bien évidemment, être anticipées, ce qui est d’ailleurs conseillé (...)
 
 
 

samedi 15 octobre 2016

Les banques mondiales se préparent au déploiement de la gpi début 2017

Source : Blog Avizo (14/10/2016)

Blog Avizo SwiftSWIFT a annoncé au dernier SIBOS de Genève que la première phase pilote de son initiative gpi s’est achevé avec succès, ouvrant ainsi la voie au passage en production prévu début 2017.

Durant cette phase pilote, 15 banques mondiales représentant plus de 30% des paiements transfrontaliers ont testé avec succès la conception et les principales fonctionnalités du service proposé à travers la gpi. Dans le même temps, 10 autres banques mondiales se préparaient déjà à lancer le service (...)

Lire l'article dans le blog Avizo : http://blog.avizo.tm.fr/la-premiere-phase-de-linitiative-pilote-de-la-gpi-global-payments-innovation-lancee-par-swift-sest-achevee-avec-succes/



jeudi 13 octobre 2016

SEPA : les obstacles aux virements et prélèvements européens subsistent

Source : cBanque (30/09/2016)

Deux ans après la fin de la transition des virements et prélèvements vers le format européen SEPA, certains fournisseurs sont toujours incapables d’accepter les paiements effectués avec des coordonnées bancaires d’autres pays de la zone euro, regrette le Centre européen de la Consommation (...)


mardi 4 octobre 2016

Le paiement de facture en ligne via SEPAmail fait ses premiers pas

Source : Les Echos, Ninon Renaud (04/10/2016)

Le Crédit Agricole annonce le déploiement national, début novembre, de cette solution visant à se substituer au chèque.

Un peu plus d'un an après que les banques ont annoncé qu'elles étaient prêtes à proposer à leurs clients RUBIS, un nouveau moyen de régler leurs en ligne, cette autre fonctionnalité de la messagerie sécurisée SEPAmail semble trouver son marché. Au terme de deux pilotes dans les caisses du Languedoc et d'Ile-de-France, le Crédit Agricole vient ainsi d'annoncer qu'il commercialiserait en novembre dans l'ensemble de son réseau cette offre sous le nom de « SEPAmail e-facture ». , promet Jacques Vanhautère, directeur général de SEPAmail.eu, société détenue par les principales banques françaises (...)
 

lundi 26 septembre 2016

Tarifs bancaires : des nouveaux frais sur les prélèvements SEPA

Source : cBanque 23/09/2016)

Depuis leur passage au format européen SEPA à l'été 2014, les prélèvements sont devenus gratuits en France. Pourtant, de nouveaux frais, indirects, apparaissent dans les brochures tarifaires de certaines banques. Exemple : la mise en place des listes blanches et noires, que certaines enseignes ont décidé de facturer (...)

En savoir plus sur http://www.cbanque.com/actu/59866/tarifs-bancaires-des-nouveaux-frais-sur-les-prelevements-sepa#e0IRWEKTH2eJzeji.99


lundi 8 août 2016

De l’inefficience de la signature électronique (ou du moins de ce que l’on vous présente comme tel)

Source : www.village-justice.com (04/08/2016)
Par Gildas Neger, Docteur en droit.

Depuis le 1er juillet 2016, la signature électronique est recevable légalement dans et entre tous les États membres (règlement européen eIDAS - identification électronique et services de confiance).

Pour autant, et en l’état, la question de l’efficience (c’est-à-dire l’optimisation des outils mis en œuvre pour parvenir à un résultat, sachant que l’efficience se mesure sous la forme d’un rapport entre les résultats obtenus et les ressources utilisées.
) de cette « signature » est juridiquement déterminante. Étymologiquement, la signature est l’action d’écrire son « nom » à la fin d’une lettre, d’un contrat.

Certains y voient des avantages tels que : expédier des tâches quotidiennes pour s’assurer un meilleur taux de transformation, améliorer sa productivité, faciliter l’accès aux services, rendre une image moderne et respectueuse de l’environnement, gérer les transactions par-delà les frontières… (Pascal Colin, La nouvelle signature électronique entrera en vigueur en juillet 2016).

Mais cette « signature » électronique est-elle vraiment valable ? La question semble aller de soi vu les encadrements juridiques de ce nouveau procédé. Pour autant il serait stupide d’agréer sans réflexions ni critiques. Vous l’aurez compris, je suis de ceux qui considèrent que ce procédé n’a aucune valeur légale !

Et de nous en expliquer (...)


mercredi 13 juillet 2016

Le Comité national des paiements scripturaux dévoile ses priorités

Source : L'AGEFI (12/07/2016)

La Banque de France, la FBF et l'AFTE présentent leur programme pour promouvoir des moyens de paiement sûrs en France tout en renforçant les liens avec la zone Sepa. 

dimanche 3 juillet 2016

Vérifiez le degré de fiabilité de votre signature électronique, les textes européens ont changé

Source : L'usine digitale (01/07/2016)

Le numérique ne bouleverse pas que les business models. Pour le prendre en compte, les règles et les lois sont elles aussi en pleine mutation. Chaque semaine, les avocats Eric Caprioli, Pascal Agosti, Isabelle Cantero et Ilène Choukri se relaient pour nous fournir des clés pour déchiffrer les évolutions juridiques et judiciaires nées de la digitalisation : informatique, cybersécurité, protection des données, respect de la vie privée... Aujourd’hui, regard sur le nouveau Réglement identification et services de confiance et sur ses effets sur les standards de signature électronique (...)

mercredi 29 juin 2016

Le programme gpii « global payments innovation initiative » de SWIFT va transformer les paiements transfrontaliers.

COMMUNIQUE DE PRESSE


Plus de 70 banques dans le monde s’engagent pour améliorer considérablement l'expérience client des paiements transfrontaliers en augmentant la vitesse, la transparence et le suivi de bout en bout. 


Bruxelles, 29 juin 2016 – SWIFT annonce la participation de 73 banques mondiales au programme global payments innovation initiative, qui vise à améliorer les paiements transfrontaliers. Les dernières banques à avoir adhérer à l’initiative sont : Alfa-Bank, Axis Bank, Banco de Crédito del Peru, Banco do Brasil, Bangkok Bank, Bank of Nova Scotia, Banque Européenne d’investissement, CaixaBank, Canadian Imperial Bank of Commerce, Crédit Agricole, CTBC Bank, E.Sun Commercial Bank, Fifth Third Bank, ICICI Bank, Itaù Unibanco, Mashreq Bank, Promsvyazbank, Rabobank, Svenska Handelsbanken, Swedbank, TMB Bank et U.S. Bank.
 
« C’est une excellente nouvelle de voir tant d’acteurs de toutes les parties du monde participer au programme gpii lancé par SWIFT » déclare Wim Raymaekers, Global Head of Banking Market and project lead de l’initiative gpii de SWIFT. « Ensemble, ils effectuent près de 75 % des paiements transfrontaliers au sein du réseau SWIFT. Nous invitons de nouvelles banques à rejoindre cette initiative ouverte ».
 
Dans le cadre du programme, les banques vont améliorer leur approche des paiements transfrontaliers et vont suivre un ensemble de règles métier strictes, mises en place par SWIFT en collaboration avec les banques participantes. Les banques partenaires pourront alors offrir à leurs clients une expérience des paiements transfrontaliers plus qualitative, proposant une utilisation des fonds le jour même, une transparence et prévisibilité des frais, le suivi des paiements de bout en bout et un transfert d’informations de paiement plus riches.
 

Patrick Simonin, Directeur des Services Bancaires du Crédit Agricole SA, confirme : « Le Groupe Crédit Agricole place au cœur de ses ambitions l’accompagnement de ses clients dans la durée de façon globale et personnalisée. C’est la raison pour laquelle nous avons décidé de rejoindre gpii, une initiative qui a vocation à améliorer sensiblement l’expérience client autour des paiements internationaux. »


Pour assurer le suivi des paiements de bout en bout, SWIFT développe une base de données sur le cloud, hébergé par SWIFT, fournissant une visibilité de bout en bout pour déterminer le statut de l’opération de paiement, depuis son envoi jusqu’à sa confirmation – similaire aux services de suivi proposés par les entreprises de transport internationales.



Wim Raymaekers précise: « Ce nouvel outil de suivi des paiements est un bel exemple d’innovation collaborative. Pour la première fois, les banques seront capables de donner à leurs clients des informations précises sur l’état d’avancement de leurs paiements, en temps réel, incluant la confirmation du virement sur le compte bénéficiaire. »



La première phase du programme gpii est bien avancée grâce à un pilote qui s’est concentré sur les paiements B2B. Les premiers résultats seront présentés lors du Sibos 2016, qui se tiendra à Genève en septembre prochain. Le service est prévu pour être lancé auprès de toutes les banques participantes début 2017.


En complément de cette phase pilote, plus de 40 banques ont participé, en avril et mai, à une série d’ateliers à Francfort, Singapour, Londres et New-York, afin de définir une nouvelle vision pour le Correspondent Banking, nommée « la transition digitale des paiements transfrontaliers.


Une feuille de route pragmatique et orientée clients a été élaborée afin de proposer un ensemble supplémentaire de services de paiements sur la base de données enrichies, afin de créer plus de valeur pour les clients et de favoriser la réduction des coûts d'exploitation pour les banques.


« Le programme global payments innovation initiative de SWIFT change vraiment les règles du jeu », déclare Christian Sarafidis, Chief Marketing Officer, SWIFT. « Le nombre important de banques, le nouvel outil de suivi de paiements, des résultats validés par un pilote et une feuille de route délivrant encore plus de valeur pour nos clients : cette initiative est véritablement la « nouvelle norme » pour toute banque proposant des paiements transfrontaliers. » .
SWIFT et les banques partenaires du programme gpii échangeront sur ce nouveau challenge et les prochaines étapes à Sibos 2016, lors d’ateliers de formation dédiés à l’innovation en matière de paiement. 
 
Pour rester informé de l’évolution de la global payments innovation initiative, rendez-vous sur le site : swift.com/gpii 


 

À propos de SWIFT

SWIFT est une société coopérative qui fournit les plates-formes de communication, produits et services pour connecter plus de 10 800 organisations bancaires, établissements financiers et clients professionnels dans plus de 200 pays et territoires. SWIFT permet à ses utilisateurs d'échanger des informations financières automatisées, standardisées de façon sécurisée et fiable, réduisant ainsi les coûts, le risque opérationnel et éliminant les inefficacités opérationnelles. SWIFT rassemble également la communauté financière pour travailler en collaboration à déterminer les pratiques du marché, définir des standards et débattre de questions d'intérêt mutuel.


Pour plus d’informations, rendez-vous sur
www.swift.com ou sur suivez-nous Twitter : @swiftcommunity et  Linkedin : SWIFT

jeudi 23 juin 2016

L’eIDAS donne un coup de fouet à la signature numérique


Source : Décideurs Magazine (10/06/2016)


Le règlement eIDAS entrera en vigueur au 1er juillet 2016 dans toute l’Union européenne. Il est destiné à faciliter les moyens d’identification numérique, pour les États comme pour les entreprises.

Faciliter les échanges, réduire les coûts des entreprises, les délais de traitement des dossiers et simplifier les procédures : la signature numérique et la capacité de sécuriser l’identification des signataires ont bien des atouts. Pour encourager leur développement, un nouveau règlement entrera en vigueur au début du mois prochain, l’eIDAS – pour electronic identification and trust services (...)
 

Qu'en est-il de la mise en application de la signature électronique ?

Source : AFNOR (02/06/2016)
 
La signature électronique est un mécanisme permettant de garantir l’intégrité d’un document électronique et d’en authentifier l’auteur, par analogie avec la signature manuscrite d’un document papier.
 
L’authentification repose sur l’utilisation de la technologie de la cryptographie.
 
Avec l’intensification des échanges électroniques et des projets de dématérialisation, la signature électronique est en fort développement.
 
La législation européenne a créé un cadre légal harmonisé à la mise en œuvre des signatures électroniques au sein des pays membres de l’Union européenne.
 
La loi 2000-230, en modifiant le code civil, a posé le principe de la validité juridique de la signature électronique, et le décret 2001-272 a défini les conditions techniques pour assurer la fiabilité du procédé au regard de la loi.
 
Le procédé de signature électronique est présumé fiable au sens du décret si :
  • La signature électronique est sécurisée
  • Elle est créée par un dispositif sécurisé de création de signature
  • Et si la vérification de cette signature repose sur l’utilisation d’un certificat électronique qualifié.
 
Les certificats délivrés par des prestataires de services de certification sont présumés qualifiés.
 
En parallèle à la mise en place du cadre législatif, des normes internationales ISO, des accords d’atelier du CEN et des normes NF ont été élaborées sur les différentes techniques de sécurité relatives aux procédés de fiabilité de création et de vérification de signature.
 
Normes, projets de normes, recueils et ouvrages à consulter sur http://www.afnor.org/fiches/faq-reglementation/signature-electronique
 
 

Ce que les banques attendent de la signature électronique 2.0

Source : Les Echos (10/06/2016)


Un nouveau règlement européen va simplifier la signature électronique.
Les ventes à distance des banques et des fintech vont en bénéficier.

 
Voilà une innovation attendue de pied ferme par les banquiers traditionnels, comme par les jeunes start-up de la finance. A partir du 1er juillet, un big bang silencieux va affecter le monde - très technique, mais stratégique - de la signature de contrats en ligne. Ce jour-là va entrer en vigueur un nouveau cadre européen qui vise à simplifier la signature électronique et à la rendre encore plus courante qu'aujourd'hui.

Les financiers y voient plusieurs intérêts : la vente à distance (sur Internet ou par téléphone) se développe et les réseaux physiques d'agences se réduisent. Il faut donc assurer une parfaite fluidité des process de souscription en ligne. Autre avantage, comme tout texte européen qui se respecte, le nouveau cadre crée des standards compatibles en Europe. Cela pourrait faciliter pour une banque la vente de produits et de services au-delà de ses frontières domestiques. Enfin, cette signature 2.0 permet de faire des économies : le traitement d'un contrat 100 % papier peut coûter entre 15 et 20 euros, contre 3 à 5 euros pour un dossier dématérialisé. En pratique, les clients ne verront pas forcément leurs habitudes changer. Les principales innovations apparaîtront en effet en coulisses (...)
 
 

mercredi 8 juin 2016

Cyberattaques : quand des banques centrales sont visées

Source : La Tribune (07/06/2016)
 
Des hackers ont tenté de subtiliser un milliard de dollars à la Banque Centrale du Bangladesh (BCB). Ils auraient pu subtiliser un milliard de dollars. Mais une faute d'orthographe a révèle le pot aux roses et permet aux pirates de ne dérober au final que 81 millions de dollars. Par Jean-François Pruvot, Regional Director France chez CyberArk


Le 15 mai 2015, trois comptes en banque sont ouverts auprès de la Rizal Commercial Banking Corporation (RCBC), et restent inactifs jusqu'au 4 février 2016. Quelques mois plus tard, les autorités découvrent que ces comptes sont faux, et que les cybercriminels à leur origine ont planifié leur attaque près d'un an à l'avance pour tenter de subtiliser un milliard de dollars à la Banque Centrale du Bangladesh (BCB). Mais une faute d'orthographe révèle le pot aux roses et permet aux pirates de ne dérober au final que 81 millions (...)
 
 
 

mardi 19 avril 2016

BNP Paribas va tester des paiements internationaux plus rapides et plus sûrs

Source : Vincent MIGNOT, cBanques (18/04/2016)


BNP Paribas fait partie des 11 banques retenues, dans le monde, pour tester un nouveau protocole de paiements transfrontaliers plus rapide, plus transparent et plus sûr.

 
Cette initiative, baptisée Global payments innovation initiative, est pilotée par la principale messagerie interbancaire mondiale, SWIFT (1). Dans le monde, 51 banques ont déjà rejoint cette initiative, dont BNP Paribas et la Société Générale pour la France. Son objectif est d’améliorer l’expérience des paiements transfrontaliers, en augmentant « [leur] vitesse, [leur] transparence et [leur] prévisibilité », explique le communiqué de SWIFT. Ce nouveau protocole est « prévu pour être lancé auprès de toutes les banques participantes d’ici 2017 ».
En attendant, SWIFT a retenu 11 enseignes pour une phase de test, qui se déroulera jusqu’en décembre 2016. BNP Paribas en fait partie, au même titre que Barclays, ING Bank, Nordea pour l’Europe, et les principales banques américaines et asiatiques. « Au cours de cette première phase, le programme se concentrera sur les paiements [entre entreprises] », détaille SWIFT. « (…) [Il leur] permettra (…) de recevoir un service de paiements amélioré directement de la part de leurs banques, avec les caractéristiques suivantes : utilisation des fonds le jour même ; transparence et prévisibilité des frais ; suivi des paiements de bout en bout ; transfert d’informations de paiement plus riches ». Le tout sans « changements majeurs dans les systèmes internes », promet la messagerie.
(1) Créée en 1973, SWIFT (pour « Society for Worldwide Interbank Financial Telecommunication ») est une société coopérative détenue par les banques et qui permet à 10.800 établissements financiers du monde entier d’échanger des informations financières automatisées et sécurisées.
 
 

mardi 5 avril 2016

Lancement des travaux du Comité national des paiements scripturaux

Source : FBF- Fédération Bancaire Française (05/042016)

La première réunion du Comité national des paiements scripturaux s'est tenue le 4 avril 2016, conformément aux orientations présentées le 15 octobre 2015 par le Ministre des Finances, afin de moderniser les moyens de paiements en France. Le Comité national des paiements scripturaux a pour mission principale de coordonner la mise en oeuvre de la stratégie nationale sur les moyens de paiement. Il a notamment pour objectif immédiat :

  • D'accroître la possibilité des paiements par carte et par virement,
  • De faciliter le développement des paiements instantanés, 
  • De favoriser le déploiement des équipements nécessaires aux paiements sans contact,
  • De conduire une réflexion sur l'utilisation du chèque et de ses alternatives.
Le Comité a également pour tâche de suivre l'innovation dans le domaine des moyens de paiement scripturaux. Il servira enfin d'enceinte privilégiée pour la définition des positions de la communauté française des moyens de paiement en vue des travaux menés, au niveau européen, au sein de l'Euro Retail Payments Board.
Pour mener ses missions, le Comité national des paiements scripturaux s'appuie en particulier sur deux groupes de travail permanents consacrés aux moyens de paiement SEPA et au chèque pour le premier, et à la carte et aux moyens de paiement innovants pour le second. Son secrétariat est assuré conjointement par la Banque de France et la Direction Générale du Trésor.
Le Comité national des paiements scripturaux est présidé Denis Beau, directeur général de la Stabilité financière et des Opérations de la Banque de France et la vice-présidence est assurée par Jean-Yves Forel (président du Comité d'orientation des moyens de paiement de la Fédération bancaire française) et Christophe Lesobre (président de la Commission monétique et moyens de paiement de l'Association française des trésoriers d'entreprise).

mardi 1 mars 2016

NEOFI participe à l’évènement Universwiftnet 2016

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Universwiftnet Edition 2016

NEOFI participe à l’évènement Universwiftnet 2016. Le forum annuel de la relation banque-entreprise aura pour thèmes principaux : Fintech, Afrique et Taux, Liquidités et environnement bancaire.
A cette occasion, NEOFI anime l’atelier « Paiements et encaissements à l’international » avec le témoignage de Bureau Veritas à 15h45.
Pour analyser cet environnement économique et financier sens dessus-dessous, il est fondamental de dégager le temps nécessaire et de travailler avec des données financières de l’entreprise à jour non altérées. La technologie NEOFI Solutions libère vos équipes grâce à l’automatisation intelligente et assure la sécurisation de vos chaines de paiements et d’encaissements.
Bureau Veritas partage son expérience.
Toute la journée, NEOFI présente sa nouvelle offre NEOFI Exchange Hub pour sécuriser les processus de paiements et d’encaissements avec une traçabilité de bout en bout.
Nous vous invitons à télécharger ici le descriptif de cette solution innovante pour gérer ses paiements à distance.
Date : Mardi 15 mars 2016
Lieu : Palais Brongniart, Paris
Heure : 15h45

jeudi 18 février 2016

Titre interbancaire de paiement : le Tip devient le Tip Sepa

Source : Premier Ministre, Direction de l'information légale et administrative (17/02/2016)

Depuis le 1er février 2016, un règlement européen oblige les organismes comme la Direction générale des finances publiques, EDF ou certaines assurances, qui permettent le règlement par Tip (titre interbancaire de paiement) à mettre en place un dispositif compatible avec les moyens de paiement Sepa ().

Cette nouvelle obligation européenne n'a pas d'incidence pour l'usager ou le client puisque le Tip Sepa permet toujours d'effectuer un paiement par prélèvement. Ainsi, vous autorisez l'administration ou l'organisme à qui vous devez de l'argent, à effectuer un prélèvement ponctuel sur votre compte bancaire en datant et signant ce document si vos coordonnées bancaires sont déjà indiquées ou en joignant un relevé d'identité bancaire ou postal, si ça n'est pas encore le cas.

L'administration ou l'organisme devient responsable de la conservation du mandat électronique qui remplace l'autorisation de prélèvement. Vous n'avez donc plus à adresser ce document à votre banque.

Cette récente harmonisation européenne permet également de virer de l'argent (en euros) sur un autre compte situé dans l'un des 28 pays membres de l'Union européenne, dans les 4 États membres de l'Association européenne de libre échange (Islande, Liechtenstein, Norvège et Suisse), la principauté de Monaco et la république de Saint-Marin. Les départements et régions d'outre-mer (Guadeloupe, Martinique, Guyane, Réunion et Mayotte) de même que les territoires de Saint-Pierre-et-Miquelon, Saint-Barthélemy et la partie française de Saint-Martin, font aussi partie de l'espace Sepa.


jeudi 28 janvier 2016

2016, année de la migration forcée d’Ebics T vers Ebics TS ?

Source : Blog AVIZO (27/01/2016)

En juillet 2015, le CFONB, le Comité Français d’Organisation et de Normalisation Bancaire a recommandé à toutes les banques françaises de ne plus accepter le fax comme moyen de confirmation des ordres transmis avec comme date butoir le 31 décembre 2016.

Pour rappel, EBICS TS (Transport et Signature) est un système d’échange de fichiers dans le sens Client/Banque qui, associé au certificat d’une autorité de certification offre une solution sécurisée. Les principales autorités de certification à ce jour sont : SWIFT, KEYNECTIS, CERTEUROPE, CLICK AND TRUST… voir Liste des Certificats compatibles avec les exigences techniques EBICS TS (...)

mercredi 20 janvier 2016

Le GIP-MDS se dote d’une application mobile pour le suivi du portail déclaratif Net-entreprises

Source : Global Security Mag (19/01/2016)

Le Groupement d’Intérêt Public Modernisation des déclarations sociales, GIP-MDS, lance une application mobile qui alerte en temps réel de l’état de la plateforme de déclarations sociales Net-entreprises. Accessible 24h/24, l’application prévient en temps réel les Organismes de Protection Sociale réunis au sein du collectif GIP-MDS de toutes informations relatives à l’exploitation.

C’est l’entreprise Neoxia, cabinet de conseil et de réalisation de projets de systèmes d’information qui a développé cette application.

Le GIP-MDS propose aux entreprises et à leurs mandataires, via le site net-entreprises.fr, le moyen d’effectuer leurs déclarations sociales en ligne de manière gratuite et sécurisée. Net-entreprises est un modèle en matière de projet collectif. « Accrochées » ou développées par le GIP, la gestion des déclarations sociales et notamment la DSN nécessitent une communication optimale entre les différents partenaires (...)




mardi 12 janvier 2016

L’implacable intégration des systèmes d’information et son impact sur l’externalisation

Source : theconversation.com (11/01/2016)

Les Systèmes d’Information (SI) de gestion font face depuis une vingtaine d’années à un implacable et irréversible processus d’intégration des données, des processus et des applications au sein des entreprises. Ce processus donne lieu à une forte augmentation des volumes de données stockés et manipulés au sein des SI. Le terme d‘infobésité est d’ailleurs souvent évoqué.

L’intégration des SI est directement et indirectement liée à un autre phénomène majeur, celui de leur externalisation. La relation entre le processus d’intégration des données puis, lorsqu’elles sont devenues trop encombrantes et trop coûteuses à héberger, leur externalisation vers la grande nébuleuse de l’informatique en nuage est l’objet de cet article (...)




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