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mardi 29 avril 2014

SWIFT lance son service Compliance Analytics pour aider les banques à gérer les risques de fraude financière

Communiqué de presse

En utilisant les données du trafic SWIFT, Compliance Analytics aidera les banques à visualiser leurs flux de transactions à l’échelle mondiale, et à identifier des activités ou des comportements inhabituels

Bruxelles – 29 avril 2014 – SWIFT a annoncé le lancement de Compliance Analytics, nouvel outil de business intelligence dans sa gamme de services dédiée à la conformité qui aidera les banques à contrôler et à gérer les risques de fraude financière. Grâce à Compliance Analytics, les banques seront capables d’analyser leurs propres données de trafic SWIFT afin d’identifier des anomalies de comportement, des schémas ou des tendances inhabituels de trafic, des relations dissimulées et des niveaux d’activité élevés dans des zones à haut risque.

Compliance Analytics fournit aux banques un accès à une source unique de données riches et standardisées, leur offrant un panorama de leurs activités SWIFT, y compris celles de leurs filiales ainsi que l’ensemble de leurs activités avec des correspondants. L’application permettra aux banques d’identifier et d’évaluer les zones à risques, de valider les processus existants et d’avoir une vue globale de leur trafic SWIFT. L’application permettra également aux banques de développer des modèles de risque, de définir des alertes afin de mieux contrôler des zones à risques spécifiques au sein de leur secteur, et de dresser des comparaisons avec leurs homologues du secteur.

« Face à des attentes toujours plus grandes, les institutions financières doivent mettre en oeuvre des politiques et des outils qui permettront d’identifier et de lutter contre les activités financières frauduleuses », a affirmé Luc Meurant, Head of Banking Markets and Compliance Services chez SWIFT. « Compliance Analytics permet aux banques d’analyser leurs données de trafic SWIFT existantes afin de détecter les pics inhabituels, les données aberrantes ou d’éventuelles infractions. C’est un formidable nouvel outil qui peut aider l’industrie à relever les défis auxquels elle est confrontée dans le domaine de la lutte contre la fraude financière. »

Le service Compliance Analytics de SWIFT s’adresse à de nombreuses audiences au sein des banques, parmi lesquelles les équipes en charge de la conformité, la lutte contre le blanchiment, les sanctions, le correpondent banking, l’audit, et la gestion des risques. Il complète les services existants de SWIFT tels que Sanctions Screening et Sanctions Testing ainsi que le projet de KYC Registry, qui verra le jour à la fin de l’année.

Javier Pérez-Tasso, Chief Marketing Officer chez SWIFT, ajoute: « Le lancement de Compliance Analytics marque une nouvelle étape de la stratégie de SWIFT visant à offrir des solutions innovantes dans le domaine de la lutte contre la fraude financière. Ce nouvel outil s’intègre parfaitement dans la gamme de services existante en matière de conformité et représente un nouvel exemple de l’engagement de SWIFT à aider l’industrie à faire face à de nouvelles exigences en matière de lutte contre la fraude financière. »


À propos de SWIFT
SWIFT est une société coopérative qui permet aux membres de son réseau d’échanger des informations financières standardisées et automatiques de manière sûre et fiable, et, dès lors, de réduire les coûts, de limiter les risques opérationnels et de supprimer des processus opérationnels inefficaces. Plus de 10 000 organismes bancaires, établissements financiers, institutions et entreprises dans 212 pays bénéficient des produits et services et de l’expertise de SWIFT et de sa plateforme de communication sécurisée unique au monde. SWIFT assure l'échange sécurisé de données propriétaires en garantissant confidentialité et intégrité. SWIFT facilite également le rapprochement des acteurs de la communauté financière pour élaborer ensemble des pratiques de marché, définir des standards et envisager des solutions aux questions d’intérêt commun. En utilisant SWIFT, les clients peuvent bénéficier d’un large panel de solutions métiers et optimiser la gestion des flux financiers. Pour de plus amples informations, rendez-vous sur swift.com.

SWIFT lance un nouveau référentiel de données pour les institutions financières et les entreprises

Communiqué de presse

Le nouveau service Bankers World Online recueille les données de référence et les informations financières auprès de nombreuses sources afin de créer une source d’informations financières unique et exhaustive

Bruxelles, 28 avril 2014 – SWIFT a annoncé le lancement d’une nouvelle version de son annuaire Bankers World Online, un outil de recherche en ligne qui a été amélioré de manière significative pour garantir une meilleure couverture des données, un spectre d’informations financières plus large (comprenant des données de Reuters, Dun & Bradstreet et Moody’s), ainsi que de nouvelles fonctionnalités intuitives. Le service fait partie de la gamme SWIFTRef, une plateforme globale fournissant des données de référence pour les
paiements internationaux.

Le nouveau service Bankers World Online inclut des données de références essentielles, comme le BIC (Business Identification Codes), l’IBAN (International Bank Account Numbers), le LEI (Legal Entity Identifiers), les codes nationaux des banques et bien d’autres données utilisées pour faciliter les paiements internationaux et pour satisfaire les nouvelles exigences de reporting. Il inclut également les informations financières significatives publiées par les fournisseurs de données du marché et les agences de notation, parmi lesquelles les notations de crédit, les informations destinées aux actionnaires, les informations relatives au bilan, les flux de trésorerie ainsi que de nombreuses autres données sur les clients, les fournisseurs et les prestataires de services.

“Avec le nouveau Bankers World Online, SWIFTRef met à profit son expertise reconnue dans les données de référence de paiement afin d’étendre ce service de haute qualité à de nouveaux domaines, tels que les risques de contreparties et le reporting réglementaire. Cette décision répond à la demande du secteur en faveur d’une source exhaustive de données financières, encouragée par la croissance constante des exigences réglementaires (reporting) », a affirmé Stephen Gilderdale, Head of New Business Development chez SWIFT. « Intégrer les données de sources renommées comme Reuters, Dun & Bradstreet et Moody’s donne une nouvelle dimension à notre service de fourniture de données. »

Bankers World Online garantit désormais un accès en ligne direct pour fournir aux institutions financières ou aux entreprises les données de référence dont elles ont besoin pour gérer correctement les transactions nationales, SEPA et internationales ; pour valider les identifiants requis dans des rapports réglementaires ou trouver l’information nécessaire pour évaluer les risques de contrepartie. Le nouveau service améliorera le taux d’automatisation (Straight through processing) des paiements, participera à l’atténuation des risques et permettra de réduire les coûts et le temps passé en réparations et en recherches manuelles, tout en garantissant la conformité avec les réglementations en vigueur.

En plus de ce contenu extrêmement enrichi, Bankers World Online offre également une meilleure ergonomie ainsi qu’un canal direct pour se renseigner ou signaler toute donnée incorrecte ou manquante, dans un environnement dynamique et agréable à utiliser.

Pour plus d’informations concernant le nouveau service Bankers World Online de SWIFTRef, rendez-vous sur http://swiftref.swift.com/bankers-world-online


A propos de SWIFTRef
SWIFTRef est le service de données de référence unique de SWIFT. Que vous soyez une institution financière, une entreprise, un fournisseur de données ou de service, SWIFTRef vous offre une source unique pour toutes les données de référence dont vous avez besoin pour un processus de paiement sans faille et des rapports réglementaires précis. Si l'identification et la validation des codes BIC, IBAN, des codes bancaires nationaux, des instructions permanentes de règlement, des informations de routage SEPA ou d'autres données de référence représentent un défi à gérer pour vous au quotidien, découvrez comment SWIFTRef peut vous faciliter les paiements.

À propos de SWIFT
SWIFT est une société coopérative qui permet aux membres de son réseau d’échanger des informations financières standardisées et automatiques de manière sûre et fiable, et, dès lors, de réduire les coûts, de limiter les risques opérationnels et de supprimer des processus opérationnels inefficaces. Plus de 10 000 organismes bancaires, établissements financiers, institutions et entreprises dans 212 pays bénéficient des produits et services et de l’expertise de SWIFT et de sa plateforme de communication sécurisée unique au monde. SWIFT assure l'échange sécurisé de données propriétaires en garantissant confidentialité et intégrité. SWIFT facilite également le rapprochement des acteurs de la communauté financière pour élaborer ensemble des pratiques de marché, définir des standards et envisager des solutions aux questions d’intérêt commun. En utilisant SWIFT, les clients peuvent bénéficier d’un large panel de solutions métiers et optimiser la gestion des flux financiers. Pour de plus amples informations, rendez-vous sur swift.com.

lundi 28 avril 2014

La Belgique et l’Irlande n’acceptent plus les formats non SEPA

Source : Finyear (28/04/2014)

Les entreprises en Irlande et en Belgique sont désormais tenues d’effectuer des paiements en utilisant des formats SEPA. Les banques de ces deux pays ont cessé d’accepter les formats nationaux de paiement le 1er avril.

La transition semble s’être bien déroulée. Aucun rapport de défaillances d’entreprises ou de banques n’a été recensé. Cela n’est pas surprenant compte tenu des bons et précoces progrès de la part des entreprises
irlandaises et surtout belges concernant SEPA : à la mi-mars, 99% des...

Lisez la suite dans la lettre LE TRESORIER n°6 d'avril 2014.
Téléchargement libre sur : www.finyear.com/letresorier 


mardi 22 avril 2014

Un premier bilan contrasté pour la migration Sepa

Source : Option Finance (22/04/2014)

A trois mois de la suppression des formats de paiement nationaux, les banquiers redoutent que de nombreuses entreprises françaises n’aient pas achevé leur migration à temps. Pour celles qui ont déjà adopté le Sepa, des dysfonctionnements demeurent, notamment en ce qui concerne la restitution des données relatives aux transactions effectuées (...)



mercredi 16 avril 2014

Modernisation de la paie : les entreprises peu sensibilisées à la DSN

Source : Silicon.fr (16/04/2014)

La déclaration sociale nominative (DSN) remplacera, d’ici le 1er janvier 2016, toutes les déclarations sociales issues de la paie. Bien que le dispositif nécessite une mise à niveau des progiciels de paie, les entreprises tardent encore à s’engager, observe l’éditeur ADP.

Mesure du « choc de simplification » de Francois Hollande, la déclaration sociale nominative(DSN) est expérimentée depuis 2013 et sera obligatoire en 2016. La transition vers ce dispositif  unique, nominatif et mensuel, implique une mise à niveau des progiciels de paie. Mais les entreprises tardent à se lancer, observent l’éditeur spécialisé ADP et le prestataire CSC.

47% de déploiements en 2014 ?

Parmi les 110 entreprises interrogées (qui emploient ensemble 1 million de salariés en France), 72% se disent « peu sensibilisées ». 47% des répondants se déclarent prêts à lancer un projet de déploiement cette année, 45% patienteront jusqu’en 2015. Pourtant, 92% des organisations considèrent la DSN comme « un projet important, risqué ou difficile » (...)

Lire l'article dans Silicon.fr



DSN : la simplification de la paie passe par une mise à jour des progiciels

Source : Silicon.fr (14/04/2014)

La simplification de la fiche de paie, en amont de la généralisation de la déclaration sociale nominative, fait partie de la série de mesures annoncées lundi par le conseil de simplification. L’objectif : « faire gagner du temps et économiser de l’argent aux entreprises ». Le dispositif, obligatoire en 2016, implique une mise à la norme DSN (NEODes) des progiciels de paie (...)

Lire l'article dans Silicon.fr



Paiements : un prélèvement sur dix en France n'est toujours pas SEPA

Source : cBanque (15/04/2014)

A trois mois et demi de l’échéance du 1er août, près de 10% des prélèvements et 6,5% des virements passés en France ne sont toujours pas conformes à la nouvelle norme européenne SEPA, prévient la Banque de France. Le rythme de migration s’est toutefois nettement accéléré depuis la fin 2013 (...)

Lire l'article dans cBanque



mardi 15 avril 2014

UNIVERSWIFTNet 2014 : « Payer n’est pas joué »

Communiqué de presse

La 11ème édition d’UNIVERSWIFTNet, Forum annuel de la relation entre les banques et les grandes entreprises, a eu lieu mardi 18 mars au Palais Brongniart. Une édition placée sous le signe de 007, qui a permis à tous les James Bond de la trésorerie de devenir de parfaits agents secrets spécialistes des paiements. A l’ordre du jour, les visiteurs ont pu assister à des conférences sur les enjeux de la réglementation EMIR, la mise en oeuvre et les prochaines étapes du SEPA ainsi que sur l’actualité des paiements internationaux et participer à des ateliers organisés par de nombreux partenaires. Nous vous proposons de retrouver dans ce flash d’actualités les échanges consacrés à EMIR et au déploiement d’un espace unique de paiement en euros, deux enjeux majeurs pour l’industrie financière cette année.

Permis de payer : EMIR, un nouveau cadre pour les produits dérivés 


Alors que la crise financière de 2008 a démontré les faiblesses et les risques des produits dérivés, l’Europe a répondu en développant un cadre législatif strict permettant de mieux contrôler les produits dérivés de gré à gré. Monsieur Philippe Pellé, conseiller au sein de la DG Marché intérieur et services à la Commission européenne, a ainsi éclairé les participants d’UNIVERSWIFTNet sur la réglementation EMIR et sa mise en application par les différentes parties-prenantes concernées. 

Sous l’impulsion du travail du G20, l’EMIR a vu le jour afin de créer les conditions nécessaires au retour de la confiance sur les marchés. En effet, face à la faillite de l’ancien système, l’Europe a apporté des réponses concrètes et complètes : création d’organismes de tutelle (EBA, ESMA, EIOPA et ESRB), renforcement des fonds propres des banques avec Bâle III, réglementation EMIR (European Market Infrastructure Regulation)… l’Europe a mis en place un nouvel environnement transparent et sécurisé pour les produits dérivés. Avec l’EMIR, la Commission européenne et le G20 souhaitent réduire le risque de marché et de contrepartie, augmenter la transparence et améliorer l'intégrité et la supervision du marché. 

Initiée en 2009, cette initiative est aujourd’hui en cours d’application puisque depuis le 12 février 2014 les institutions concernées par les obligations de reporting EMIR doivent déclarer leurs transactions auprès de l’un des référentiels centraux nouvellement agréés. L’EMIR a notamment pour objectif de réduire le risque de contrepartie en ordonnant la compensation par des contreparties centrales (CCP) pour les contrats de produits dérivés standardisés et d’augmenter la transparence en obligeant les participants du marché à consigner les positions et toutes les transactions non compensées par une CCP dans des référentiels de transactions. En outre, cette réglementation permet de réduire le risque opérationnel en favorisant la standardisation des termes de droit des contrats de produits dérivés et du traitement des contrats.


L’EMIR représente un challenge pour les entreprises concernées mais doit surtout être perçue comme une précieuse opportunité afin d’améliorer la performance opérationnelle de gestion des opérations dérivés et gagner en sécurité. Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site de l’ESMA : http://bit.ly/1dinNVu

Les paiements sont éternels : En route vers l’union bancaire


L’union bancaire doit créer les conditions du retour de la confiance et constitue un levier primordial pour relancer le crédit et la croissance. Alors qu’en début d’année, le report de la date de migration au SEPA, initialement prévue le 1er février 2014 et décalée au 1er août, a créé la surprise au sein de la communauté financière, la transition reste plus que jamais d’actualité. Malgré une bonne progression des taux de transition fin 2013, les premiers mois de 2014 ont montré l’existence d’un plafond difficile à dépasser. En effet, certains petits émetteurs, à l’image des PME, sont en retard et n’ont pas tous saisi les avantages du passage à un espace unique de paiements en euros.


Parmi les points de difficultés relevés par les professionnels, Hervé Postic, directeur général d’Utsit et organisateur d’UNIVERSWIFTNet, a rappelé que, si les virements SEPA étaient simples, il n’en est pas de même des prélèvements. « La gestion des séquences, la complexité et l’hétérogénéité des informations en retour ont conduit à de grandes difficultés. Le traitement particulier des COM du Pacifique, les banques « inatteignables » alors qu’elles l’étaient, les comptes bancaires « indébitables » alors qu’ils l’étaient, et tant d’autres éléments, ont aussi parasité les migrations des grands émetteurs… Tirons‑en ensemble une expérience: le prélèvement SEPA est complexe, mettons tout en oeuvre pour atténuer cette complexité ou la masquer, aux yeux des créanciers comme des débiteurs », a-t-il expliqué.


Les trésoriers d’entreprise ont travaillé pendant des mois pour être prêts pour les nouveaux formats et perçoivent aujourd’hui les bénéfices d’un tel projet. En effet, la migration au SEPA permet aux entreprises de gagner du temps tout en réduisant les coûts associés et d’améliorer l’efficacité dans les envois d’informations aux clients. En réduisant le nombre de comptes bancaires, les entreprises améliorent la gestion de leur trésorerie. Globalement, les avantages directs de la mise en place du SEPA sont estimés à 123 milliards d’euros selon la BCE.


« L’entrée en vigueur d’un espace unique de paiements en euros représente un nouveau départ. Nous avons par exemple déjà constaté l’annonce de nouvelles normes comme PSDII. L’émergence de nouvelles versions du SEPA ne doit pas être vue de façon négative tant que les exigences des clients et l’efficacité des process sont respectées. Le SEPA devrait être l’occasion de développer de nouvelles innovations, ce qui est un signal positif pour la communauté financière », commente Thierry Chilosi, Head of Banking Initiatives, EMEA, de SWIFT.


Aujourd’hui, on entrevoit les prochains défis du SEPA, une fois que la transition sera effective pour l’ensemble de l’industrie. La poursuite de l’intégration du marché unique des paiements est décisive pour la communauté financière et le chantier de l’union bancaire doit continuer à avancer pour aller encore plus loin puisque la transition se poursuivra jusqu’en 2016 pour les pays de la zone non-euro.


La norme internationale ISO XML 20022 utilisée dans le SEPA sera peu à peu utilisée pour l’ensemble des flux financiers et permettra donc d’harmoniser la gestion des flux bancaires. Une nouvelle étape interviendra également en 2016 avec la migration du TIP et du télérèglement. Les parties-prenantes impliquées doivent donc profiter des deux prochaines années pour optimiser leurs flux et profiter au mieux des progrès du SEPA.


Pour découvrir les témoignages d’Europcar, GDF et d’Elior, sur la façon dont ils ont géré cette transition, veuillez consulter le numéro d’UNIVERSWIFTNet Magazine en cliquant ici.

Pour plus d’informations sur l’offre Compliance, rendez-vous sur www.swift.com

La migration SEPA s’achève : les retardataires doivent désormais migrer au plus vite

Communiqué de presse

La migration française vers les moyens de paiement SEPA, grâce à une progression toujours significative, devrait s’achever très prochainement : à la fin du mois de mars 2014, les virements et prélèvements SEPA représentaient respectivement 93,5 % des virements et 90,6 % des prélèvements échangés sur les systèmes de paiement de détail, contre 91,7 % et 87,0 % à la fin février. 

Les administrations publiques et la très grande majorité des entreprises ont conclu avec succès leur passage au SEPA, mais certains donneurs d’ordre, parmi lesquels les petites et moyennes entreprises (PME) et les associations, sont en retard et n’ont pas encore achevé cette migration. 

Il est désormais urgent que tous les retardataires (entreprises, associations, professions libérales, commerçants, artisans, ...) engagent dans les plus brefs délais les actions nécessaires pour adopter les moyens de paiement SEPA. Tout retard supplémentaire dans leur migration les exposerait, à compter du 1er août 2014, à un risque de rejet de leurs opérations de virement et de prélèvement non conformes à la norme européenne. 

Les banques et les autres prestataires de services de paiement, avec le soutien des associations professionnelles et des experts-comptables, mettent tout en œuvre pour les accompagner dans leurs démarches et faciliter leur migration. 

Des informations complémentaires sont consultables sur le site Internet dédié de la Banque de France, www.urgence-sepa.fr, ainsi que sur le site Internet du Comité national SEPA, www.sepafrance.fr

jeudi 10 avril 2014

TPE, PME, où en êtes-vous dans votre migration SEPA ?

Source : MEDEF

Selon les dernières statistiques disponibles à fin février 2014, le taux de migration pour le virement et le prélèvement SEPA atteint respectivement 91,7 % (contre 84 % en janvier 2014) et 87 % (contre 72,5 % en janvier 2014).
Ces statistiques témoignent de la forte mobilisation des entreprises pour achever leur migration dans les délais requis, soit avant le 1er février 2014.

Pour autant, un certain nombre de donneurs d’ordre (majoritairement des TPE-PME) n’ont toujours pas achevé leur migration au SEPA.
Face à ce constat, il nous apparait nécessaire d’adresser aux chefs d’entreprises de TPE et de PME un questionnaire visant à identifier les freins au passage au SEPA pour ces dernières entreprises qui restent à migrer.
Enfin, il s’agit également, pour les entreprises qui auraient déjà adopté les normes SEPA, de réaliser un bilan de leur migration afin notamment d’analyser les conséquences (positives et négatives) induites sur leur fonctionnement.

Merci  de répondre au questionnaire.


mardi 8 avril 2014

Déclaration sociale nominative, il est temps de s'y mettre !

Source : 01Business (03/04/2014)

Au 1er janvier 2016, toutes les entreprises devront changer leur manière de réaliser les déclarations sociales liées à la paie de leurs salariés. Anticiper le mouvement comporte de nombreux avantages.

« Notre volonté, c’est qu’il y ait 100 000 entreprises qui puissent bénéficier de la déclaration sociale nominative (DSN) d’ici la fin de l’année, et deux millions à la fin de l’année prochaine. C’est une obligation qui pèse sur l’ensemble du ministère de l'Économie et des Finances et du ministère des Affaires Sociales » expliquait François Hollande, en janvier dernier, à Toulouse.

La DSN = un seul fichier à transmettre à un seul intermédiaire

Pour mémoire, la DSN fait partie des mesures pour simplifier les démarches administratives des entreprises et « éviter la multiplicité des interlocuteurs, des formalités et des données à fournir », résume Jean-Louis Bühl, en charge de la maîtrise d’ouvrage stratégique de la DSN. Elle concerne plus précisément la gestion de la paie des salariés et donc des acteurs de la chaîne comme les experts-comptables, les éditeurs de logiciels RH et les responsables de la paie dans les entreprises.

Avec la DSN, les entreprises n’auront plus qu’une transmission unique mensuelle de données issues de la paie à réaliser en remplacement de l’ensemble des déclarations sociales. Elles n’auront plus besoin d’envoyer leurs déclarations aux différents organismes de protection sociale comme Pôle emploi ou la Dares, mais se contenteront d’envoyer à un seul endroit (sur le portail net-entreprises.fr) un fichier unique ou un flux EDI. Il s’agit à la fois d’une diminution du nombre d’informations à fournir et du nombre d’interlocuteurs (...)




[video] SEPA : de la centralisation de trésorerie à la centralisation des paiements

SYRTALS SI comme chaque année est partenaire de l’évènement Universwiftnet et pilote  un atelier.
Cette année Arnaud Bruneton et Arfang Sonko ont animé un atelier intitulé « SEPA : de la centralisation de trésorerie à la centralisation des paiements ». Pendant cet atelier ont été abordé les opportunités de la centralisation des paiements avec du « paiement pour compte de » et l’obligation d’obtenir un agrément d’établissement de paiement de l’ACPR.
Retrouvez toutes les vidéos Syrtals SI ici : http://www.syrtals.com/videos-syrtals 

vendredi 4 avril 2014

Déjà près de 90% de virements et prélèvements SEPA. Ne soyez pas les derniers !

Communiqué de presse (03/04/2014)

Avec près de 92% des virements et 87% des prélèvements à fin février, la France est en voie de réaliser sa migration totale et définitive vers SEPA.
Cependant, la CGPME rappelle aux PME et TPE que la date butoir réglementaire de migration reste le 1er février 2014. Le délai supplémentaire et exceptionnel accordé jusqu’au 1er août 2014 permet simplement aux retardataires de se mettre en conformité sans attendre.
Le processus doit être finalisé rapidement pour éviter les désagréments liés à une migration tardive. Ne plus recevoir les paiements de leurs clients, ne plus pouvoir payer fournisseurs et salariés sont en effet les gros risques encourus par les entreprises restées à l’ancien système.
Pour s’assurer de l’adéquation des logiciels, du remplacement des RIB par les coordonnées BIC-IBAN et des tests d’échanges avec leur banque, la CGPME invite les PME/TPE à contacter leur banquier, prestataire informatique et expert-comptable qui sont leurs interlocuteurs naturels.
Une fois ces opérations préalables et nécessaires à la migration réalisées, les entreprises n’ont plus qu’à terminer leur passage à SEPA en effectuant leurs paiements en euros sous ce seul format.
Des infos détaillées et une vidéo d’explication sont disponibles sur www.cgpme.fr et www.banques-sepa.fr

Comment les mafias peuvent vider votre compte grâce au Sepa

Source : Challenges (03/04/2014)

Le nouveau système de prélèvement est censé faciliter la vie des clients des banques. Mais des truands ont identifié des failles et déjà puisé dans de nombreux comptes (...)





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