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vendredi 29 juin 2012

[BE] SEPA trop tard,mais...


Source : Marc Husquinet - Le Vif (29/06/2012)

Si vous n'avez pas encore adapté vos systèmes informatiques et vos processus à la future réglementation SEPA (Single Euro Payments Area), il est grand temps de commencer à y penser. L'échéance est fixée au 1er février 2014.

Alors que l'euro visait à la création d'un espace européen unique pour l'argent liquide, la réglementation SEPA entend mettre en place un système de paiements scripturaux dans 32 pays européens. Sont donc visés tant les virements que les domiciliations, outre à terme les cartes de débit (...)

Lire l'article dans Le Vif

mardi 26 juin 2012

Pour respecter des dates butoirs ambitieuses, le Comité national SEPA prépare une campagne d'information auprès des entreprises

Source : Fédération Bancaire Française (FBF, 26/06/2012)

Le Comité National SEPA a décidé de se doter d'un plan de communication pour apporter l'information nécessaire aux acteurs dès le second semestre 2012 (liste en annexe). Des réunions d'information en région seront organisées par le Comité national en vue de sensibiliser les entreprises à la migration SEPA et les rapprocher de leurs interlocuteurs privilégiés que sont les associations professionnelles, les experts comptables, les fournisseurs de solutions logicielles, les chambres de commerce, les commissaires aux comptes et les banques.

  • Les délais pour s'adapter sont courts. Le Parlement européen et le Conseil ont voté la fin de migration vers le virement et le prélèvement SEPA au 1er février 2014(1).
  • Les niveaux d'avancement entre virement et prélèvement sont inégaux.En France, les virements SEPA représentent d'ores et déjà 26% des virements émis alors que le niveau de migration du prélèvement SEPA reste très faible. Ces niveaux de migration bien qu'inégaux restent conformes aux moyennes européennes et renforcent la nécessité d'une communication accrue tournée vers les entreprises.
  • Pour une migration réussie, la mobilisation de tous les acteurs est une priorité forte.

Les enquêtes menées auprès des adhérents de quatre organisations professionnelles des entreprises (AFTE, ASF, CGPME et le MEDEF) montrent que la connaissance du SEPA est proportionnelle à la taille de l'entreprise, que les freins à la migration ne sont pas de nature technique. Le déficit d'information apparaît comme une cause principale de non-migration des entreprises.

Ce constat et la date butoir de fin de migration fixée au 1er février 2014 ont motivé le Comité national et l'ensemble de ses membres à se doter d'un plan national de communication et d'un nouveau site Internet (www.sepafrance.fr) afin d'accompagner au plus près les entreprises dans cette migration et faire du SEPA un succès.

(1) Concernant le TIP et le télérèglement en France, le Comité national souhaite le maintien de ces moyens de paiement jusqu'au 1er février 2016 comme le permet le règlement.

Qu'est-ce que le projet SEPA ?

Le projet SEPA (Single Euro Payments Area - espace unique de paiement en euros) est un projet européen qui s'inscrit dans le prolongement du passage aux pièces et billets en euros. L'ambition est de créer une gamme unique de moyens de paiement en euros, commune à l'ensemble des pays européens. Grâce à ces nouveaux moyens de paiement européens, les consommateurs, les entreprises, les commerçants et les administrations peuvent effectuer des paiements dans les mêmes conditions partout dans l'espace européen, aussi facilement que dans leur pays.

Quel est le rôle du Comité national SEPA ?

Le Comité national SEPA coordonne la mise en oeuvre des moyens de paiement européens en France. Il regroupe des représentants de l'ensemble des acteurs concernés : banques, administrations, entreprises, commerçants et consommateurs, ainsi que des parlementaires et des représentants du Conseil économique et social, de l'Association des maires de France et de la presse.



Alerte au risque d'espionnage dans le cloud computing

Source : Le Figaro Économie

La Cnil propose un modèle de contrats pour protéger les entreprises qui délocalisent la gestion de leurs données.

Comme la langue d'Esope, le cloud computing, l'informatique dématérialisée, peut être la meilleure et la pire des choses pour les entreprises. La meilleure, car elle leur permet de réduire leurs coûts en transférant leurs informations à des prestataires extérieurs qui, contre une rémunération mensuelle, permettent l'accès aux données, à distance, à partir de n'importe quel équipement, 24 heures sur 24. Mais le cloud peut créer un risque majeur pour les entreprises qui délocalisent dans le réseau, à distance, des informations cruciales.

Afin de pallier le manque de transparence de certains prestataires et le risque du transfert de données personnelles à l'étranger, la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil) a lancé une consultation en octobre 2011, à laquelle cinquante acteurs ont répondu.

En exclusivité, Isabelle Falque-Pierrotin, présidente de la Cnil, livre les conclusions de l'enquête. «De plus en plus de sociétés externalisent vers le cloud des activités clés, comme la gestion des ressources humaines ou des secrets de fabrication», explique la présidente de la Cnil (...)

Lire l'article dans Le Figaro Économie 

dimanche 24 juin 2012

Le Minitel s'éteint après trente ans de bons et loyaux services

Source : La Voix du Nord

Petit terminal cubique de l'ère pré-Internet familier de millions de Français, le célèbre Minitel, qui s'ouvrait sur un écran et un clavier permettant d'accéder au vidéotexte, va mourir de sa belle mort le 30 juin, trente ans après son lancement (...)

Lire l'article dans La Voix du Nord : http://www.lavoixdunord.fr/france-monde/le-minitel-s-eteint-apres-trente-ans-de-bons-et-loyaux-services-jna0b0n536050

mercredi 20 juin 2012

Paiement mobile : qui est le mieux placé pour remporter la mise ?

Source CBanque (19/06/2012)

Selon une récente étude, les banques seraient menacées par une possible alliance entre un opérateur de carte bancaire et un opérateur de téléphonie dans le secteur des paiements par mobile. En cause : leur timidité dans le domaine, conséquence de leur attachement à la carte bancaire (..)

Lire l'article : http://www.cbanque.com/actu/30865/paiement-mobile-qui-est-le-mieux-place-pour-remporter-la-mise

mardi 12 juin 2012

SEPA : Le Conseil Européen des Trésoriers juge la date du 1er février 2014 ambitieuse compte tenu de la situation actuelle de la zone euro

Source : GTNews

Le Conseil Européen des Trésoriers (European Treasurers Council) s'est réuni hier (11 juin 2012) à Genève. Au menu des discussions figurait un point sur l'implémentation de la Single Euro Payments Area (SEPA). Dans le contexte de la crise de la zone euro et de la possibilité d'une sortie de la Grèce de la monnaie unique, l'échéance du 1er Février 2014 pour la migration vers les instruments SEPA semble ambitieuse. La réunion a souligné les avantages possibles que le SEPA peut apporter à la trésorerie, telles que la centralisation et la rationalisation des relations bancaires, mais elle a aussi relevé l'une des difficultés majeures : le mandat SEPA Direct Debit (SDD).

mercredi 6 juin 2012

Nouveau record pour la messagerie SWIFT

Communiqué de presse

Le cap des 20 millions de messages confirme la tendance
d’une hausse du volume de trafic international de SWIFT

Bruxelles, le 6 juin 2012 – SWIFT, fournisseur mondial de services de messagerie financière sécurisée partagés par plus de 10 000 entreprises et institutions financières à travers 210 pays, a annoncé avoir atteint le 31 mai dernier un nouveau pic avec plus de 20 millions de messages échangés en une seule journée. Ce pic a été atteint en raison de plus de 10 millions de messages échangés dans le monde concernant des paiments et plus particulièrement grâce au pic atteint en Amérique avec 4,29 millions de messages – ce qui représente une augmentation de 15,3 % du volume moyen de messages échangés quotidiennement en mai 2012 (par rapport à l’année précédente).
 
« Le cap que nous venons d’atteindre n’est pas une surprise. Nous avons vu les volumes augmenter depuis le début de l’année. Durant les cinq dernières années, le volume total de messages a doublé, augmentant continuellement d’année en année depuis 2007 avec une exception en 2009 où nous avons connu une baisse des volumes que nous avons su totalement surmonter » commente Lázaro Campos, CEO de SWIFT.
 
L’activité de SWIFT ne cesse de croître avec de plus en plus d’insitutions financières, de banques et d’entreprises à travers le monde qui font confiance au service de messagerie international hautement sécurisé, fiable et aux prix compétitifs. Cette croissance continue conforte la position de SWIFT en tant qu’acteur clé de la communauté financière internationale et confirme sa légitimité au service du développement de solutions efficaces et performantes permettant de réduire les risques opérationnels et les coûts pour ses membres.
 
Au-delà des services de messagerie financière internationale sécurisés, SWIFT a également répondu aux besoins de la communauté financière en développant des services innovants et à valeur ajoutée tels qu’une solution de signature électronique personnelle, un système de comparaison à des listes de sanctions ainsi que des services améliorés à destination des entreprises et des banques internationales. Plus récemment, SWIFT a lancé l’Index SWIFT : un index basé sur les données de messagerie SWIFT à partir duquel on peut dessiner l’évolution du Produit Intérieur Brut (PIB) des pays de l’OCDE à court terme. Cet indicateur est largement utilisé par les analystes, les économistes et décideurs au sein des institutions financières, des entreprises, des institutions gouvernementales et des académies. 
 
« Grâce à sa position centrale au sein de la communauté financière internationale, SWIFT bénéficie d’une compréhension unique des marchés. Cette vision des enjeux du secteur permet à SWIFT de prévoir l’évolution des volumes et d’agir en tant que baromètre économique à travers l’Index SWIFT. Celui-ci prévoit une croissance modérée de 2,1 % du PIB des pays de l’OCDE au 2ème trimestre 2012 par rapport au 2ème trimestre 2011 » ajoute Lázaro Campos.
 
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À propos de SWIFT
SWIFT est une société coopérative qui permet aux membres de son réseau d’échanger des informations financières standardisées et automatiques de manière sure et fiable, et, dès lors, de réduire les coûts, de limiter les risques opérationnels et de supprimer des processus opérationnels inefficaces. Plus de 10 000 organismes bancaires, établissements financiers, institutions et entreprises dans 210 pays bénéficient des produits et services et de l’expertise de SWIFT et de sa plateforme de communication sécurisée unique au monde. SWIFT assure l'échange sécurisé de données propriétaires en garantissant confidentialité et intégrité. SWIFT facilite également le rapprochement des acteurs de la communauté financière pour élaborer ensemble des pratiques de marché, définir des standards et envisager des solutions aux questions d’intérêt commun. En utilisant SWIFT, les clients peuvent générer de nouvelles possibilités d'affaires et un nouveau flux de revenus. Pour de plus amples informations, rendez-vous sur swift.com.

mardi 5 juin 2012

SEPA survivra même sans l’euro

Source : Finyear La quatrième édition de l’enquête « State of the European Payments Marketplace », menée par le FS Club en partenariat avec l’Euro Banking Association et Logica, montre que le secteur bancaire exprime une forte demande pour des paiements en temps réel. Malgré les préoccupations importantes qui demeurent à propos des dettes souveraines européennes, banquiers et entreprises sont de plus en plus nombreux à attendre la mise en place effective de SEPA, le projet d’espace unifié de paiement de la zone euro (...) Lire l'article dans Finyear

lundi 4 juin 2012

Denis Gaultier (Cards Off) : "SEPA va fluidifier les paiements en Europe"

Source : Gaël LOMBART (e-commerce Mag, 31/05/2012)

À compter du 1er février 2014, les virements et les prélèvements en Europe devront tous avoir migré vers le SEPA, l'espace unique de paiement en euro. Explications de Denis Gaultier, directeur général délégué de Cards Off, établissement de paiement spécialisé dans l'e-commerce (...)

Lire l'article dans e-commerce Mag

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